Storia della decadenza e rovina dell'impero romano, volume 1. Edward Gibbon
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Читать онлайн книгу Storia della decadenza e rovina dell'impero romano, volume 1 - Edward Gibbon страница 24

СКАЧАТЬ and stubborn commons, possessed of arms, tenacious of property, and collected into costitutional assemblies, forms the only balance capable of preserving a free constitution against enterprises of an aspiring prince.

Traduzione Pisana.

Una Monarchia secondo la generale definizione è uno Stato, in cui ad una sola persona, venga questa con qualsisia nome distinta, si affida l'esecuzione delle leggi, la direzione dell'entrate, ed il comando dell'armi. Ma se la pubblica libertà non è protetta da intrepidi e vigilanti custodi, l'autorità di un magistrato così formidabile presto degenera in dispotismo. In un secolo di superstizione, il genere umano per assicurare i suoi diritti avrebbe potuto servirsi dell'influenza del clero: ma il trono e l'altare son tanto connessi, che raramente lo stendardo della Chiesa si è visto alla testa del Popolo. Una nobiltà guerriera e un popolo inflessibile padrone delle armi, tenace del diritto di proprietà, e raccolto in regolari adunanze formano la sola barriera, che possa continuamente resistere agli attacchi perpetui di un Principe ambizioso.

Detta Traduzione emendata.

Una Monarchia, secondo la definizione che più facile presentasi, è uno Stato, in cui ad una sola persona, venga questa con qualsisia nome distinta, si affida l'esecuzione delle leggi, il governo dell'entrate, ed il comando dell'armi. Ma se la pubblica libertà non è protetta da intrepidi e vigilanti custodi, l'autorità di un magistrato così formidabile tralignerà in dispotismo fra breve. In un secolo di superstizione l'influenza del clero potrebbe utilmente servire a sicurare i diritti del genere umano: ma il trono e l'altare sono sì strettamente connessi, che di rado lo stendardo della Chiesa si è veduto a sventolare dal lato del Popolo. Una nobiltà guerriera ed un popolo inflessibile, padrone dell'armi, tenace del diritto di proprietà, e raccolto in adunanze secondo la legge, formano il solo contrappeso atto a sostenere una costituzione libera contro le usurpazioni di un Principe ambizioso.

5

Car je rechercherai toujours la verité, quoique je n'aye guères trouvé jusqu'ici que la vraisemblance. Memorie di Gibbon scritte da esso.

NB. Sono costretto a citare la traduzione francese di queste Memorie, non avendo potuto procurarmene l'edizione inglese.

6

Car je n'ai ni gloire ni honte à recueillir de mes ancêtres. Ivi.

7

Les traductions anglaises de Bossuet évêque de Meaux, l'exposition de la doctrine catholique, et l'histoire des variations des Protestants, achevèrent ma conversion: et certes, je fus renversé par un noble adversaire. Ivi.

8

Je n'ai point à rougir que mon esprit si tendre encore se soit embarassé dans les pièges sophistiques dont n'ont pu se defendre les entendemens subtils et vigoureux d'un Chillingworth et d'un Bayle, qui de la superstition se sont élevés ensuite au scepticisme. Ivi.

9

Gibbon dice altrove che non permuterebbe l'invincibil suo amore per la lettura, con tutti i tesori dell'India.

10

Je la vis et j'amai. Je la trouvai sans pédanterie, animée dans la conversation, pure dans ses sentimens, et élégante dans les manières. La première et soudaine émotion se fortifia par l'habitude et le rapprochement d'une connaissance plus familière. Elle me permit de lui faire deux ou trois visites chez son père. J'ai passé quelques jours heureux dans les montagnes de Franche-Comté. Ses parens encouragèrent honorablement ma recherche. Dans le calme de la retraite, les légères vanités de la jeunesse n'agitant plus son coeur distrait, elle prêta l'oreille à la voix de la vérité et de la passion; et je puis me flatter de l'espérance d'avoir fait quelque impression sur un coeur vertueux. A Crassi, a Lausanne, je me livrai à l'illusion du bonheur: mais, à mon retour en Angleterre, je découvris bientôt que mon pêre ne voudrait jamais consentir à cette alliance, et que, sans son consentement, je serais abandonné et sans espérance. Après un combat pénible, je cédai à ma destinée. Je soupirai comme amant, j'obéis comme fils. Insensiblement, le tems, l'absence et l'habitude d'une nouvelle vie guérirent ma blessure. Ma guérison fut accélêrée par un rapport fidèle de la tranquillité et de la gaieté de la demoiselle elle même; et mon amour se convertit peu-à-peu en amitié et en estime. Ivi.

11

Tout considéré, je puis appliquer au premier fruit de ma plume, les paroles d'un artiste bien supérieur, passant en revue les premières productions de son pinceau. Après avoir examiné quelques portraits qu'il avait peint dans sa jeunesse, mon ami, Sir Josué Raynolds, convint avec moi, qu'il était plus humilié que flatté de la comparaison avec ses ouvrages actuels; et qu'après tant de tems et d'application, il s'était imaginé que ses progrès étaient beaucoup au-dessus de ce qu'il reconnaissait qu'ils etaient en effet. Ivi.

12

C'est à Rome, un 15 octobre 1764, que rêvant, assis au milieu des ruines du capitôle, pendant que nus-pieds les moines chantaient vêpres dans le temple de Jupiter, l'idée de tracer le déclin, et la chûte de cette ville, vint pour la première fois se saisir de mon esprit. Mais mon plan était borné d'abord à la decadence de la capitale plutôt qu'à celle de l'Empire; et quoique mes lectures et mes réflexions commençassent à se diriger vers cet objet, quelques années s'ecoulèrent, et bien des diversions survinrent, avant de m'engager sérieusement dans l'exécution de ce laborieux ouvrage.

13

Edimbourg, le 18 mars 1776.

Mon cher Monsieur, pendant que je suis encore à dévorer avec autant d'avidité que d'impatience votre volume historique, je ne puis résister au besoin de laisser percer quelque chose de cette impatience, en vous remerciant de votre agréable présent, et vous exprimant la satisfaction que votre ouvrage m'a fait éprouver. Soit que je considère la dignité de votre style, la profondeur de votre sujet, on l'étendue de votre savoir, votre livre me parait également digne d'estime; et j'avoue que si je n'avais pas déjà joui du bonheur de votre connaissance personelle, un tel ouvrage dans notre siècle, de la part d'un Anglais, m'aurait donné quelque surprise. Vous pouvez en rire; mais comme il me parait que vos compatriotes se sont livrés à-peu-près pour une génération entière, à une faction barbare et absurde, et ont totalement négligé tous les beaux arts, je ne m'attendais plus de leur part à aucune production estimable. Je suis sûr que vous aurez du plaisir comme j'en ai moi même à apprendre que tous les hommes de lettres de cette ville, se reunissent à admirer votre ouvrage et à désirer sa continuation avec sollicitude.

Quand j'entendis parler de votre entreprise, il y a déjà quelque tems, j'avoue que je fus un peu curieux de voir comment vous vous tireriez du sujet de vos deux derniers chapitres (XV e XVI). Je trouve que vous avez observé un tempérament très prudent, mais il était impossible de traiter ce sujet de manière à ne pas donner prise à des soupçons contre vous, et vous devez vous attendre que des clameurs s'élèveront. Si quelque chose peut retarder votre succès auprès du public, c'est cela; car à tout autre égard, votre ouvrage est fait pour réussir généralement. Mais parmi beaucoup d'autres signes de décadence, la superstition, qui prevaut en Angleterre, annonce la chûte de la philosophie et la perte du goût, et quoique personne ne soit plus capable de les faire revivre que vous, vous aurez probablement à votre début des combats à livrer.

Je vois, ecc. ecc.

David Hume.

Ivi.

14

Gibbonus adversarios cum in, tum extra patriam nactus est, quia propagationem religionis christianae, non, ut vulgo fieri solet, aut more theologorum, sed ut historicum et philosophum decet, exposuerat.

15

L'ouvrage de Burke est le remède le plus admirable contre la contagion française qui a fait trop de progrès, même dans cet heureux pays. J'admire son éloquence, j'approuve sa politique, j'adore sa chevalerie, et il n'y a pas jusqu'à sa superstition que je lui passe. L'église primitive, que j'ai traitée avec un peu de liberté, fût elle-même à sa naissance une innovation, et je tenais à la vieille machine du paganisme.

Lettere di Gibbon,

Traduzione francese.

16

Vedasi Dione Cassio l. LIV p. 736 con le note di Reymar. Dal marmo di Ancira, sul quale Augusto aveva fatto scolpire le sue vittorie, si ricava che questo imperatore costrinse i Parti a render le insegne di Crasso.

17

Strabone l. XVI pag. 780; Plinio Stor. Nat. l. VI c. 32, 35, e Dione Cassio l. LIII p. 723, e l. LIV p. 734 ci СКАЧАТЬ