La Fraternité Hiramique : Prophétie Du Temple Ezéchiel. William Hanna
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СКАЧАТЬ arrogant au droit international.

      La peur d’être accusé d’antisémitisme était devenue depuis une phobie mondiale que l’apartheid israélienne sioniste renforce avec la vigilance de type Gestapo qui s’est imprégnée dans les médias, les parlements et les universités. Ceci est particulièrement évident aux États-Unis où le comité des affaires publiques américaines d’Israël (AIPAC) est actif sur les campus avec un programme de développement du leadership politique d’activités pro-israéliennes comprenant des rapports sur les membres, les étudiants et les organisations universitaires qui critiquent les politiques israéliennes. Les « mécréants » – exposés dans le Guide universitaire de l’AIPAC et la Surveillance campus pro-israélienne – sont ensuite soumis au harcèlement, à la suspension et même au renvoi.

      L’influence de l’AIPAC auprès du gouvernement américain comprend la fourniture de documents de position politique mettant l’accent sur l’importance stratégique illusoire d’Israël aux États-Unis. L’archive du Congrès est surveillée quotidiennement et des dossiers complets sont tenus sur les discours, les commentaires informels, la correspondance constitutive et les procédures de vote des membres sur les questions liées à Israël. L’AIPAC estime lui-même que plus de la moitié des membres du Congrès et du Sénat (qui mettent les intérêts israéliens au-dessus des citoyens de leur pays) peut toujours être invoquée pour un soutien sans faille. Chaque année entre 70 et 90 d’entre eux sont récompensés de voyages en Israël ‘financés par l’AIPAC’. L’ironie derrière l’érosion de l’AIPAC de la démocratie américaine est qu’elle est financée – avec près de 4 milliards de dollars d’aide américaine à Israël – des contribuables des américains, dont 50 millions vivent en dessous du seuil de pauvreté avec 47 millions d’entre eux recevant des coupons alimentaires.

      Le cancer insidieux de l’AIPAC se propage également grâce à des voyages au frais de la princesse offerts par les groupes ‘Friends of Israël’ (Amis d’Israël) dont la plupart sont membres dans les parlements européens, par le Conseil australien des affaires juives et israéliennes (AIJAC) et par le Comité des affaires publiques sud-africaines d’Israël (SAIPAC) récemment créé s’efforçant à faire taire la critique d’un peuple familier avec les iniquités de l’Apartheid.

      De plus, les grands médias – pour la plupart appartenant ou influencés par les amis d’Israël – sont également entravés par la peur d’offenser le lobby sioniste qui insiste que même le terme ‘Apartheid en Israël’ est antisémite. Cette mainmise sur les médias est renforcée par les organismes de surveillance sioniste des médias, tels que le Comité pour l’exactitude de compte-rendu au Moyen-Orient en Amérique (CAMERA) et la BBC Watch britannique, qui ne perdent pas de temps à dénicher toute référence négative à Israël.

      En dépit d’être une nation dans une crise existentielle profonde, l’Israël culoté continue à prétendre être une démocratie sociale juive avec des valeurs éthiques exemplaires. De telles revendications servent de couverture pour les mensonges, la tromperie, le vol et le meurtre illimité, tout en assurant son irresponsabilité pour ses crimes odieux en déséquilibrant le processus de gouvernance démocratique occidentale. Au lieu de condamner inconditionnellement Israël pour sa dernière attaque contre les palestiniens de Gaza, les dirigeants occidentaux nous prouvent qu’ils ont été achetés pour trahir les valeurs morales de leurs électeurs en dénonçant le faux principe de la « légitime défense d’Israël » en tant qu’état juif.

      Israël ne possède pas ce droit – que ce soit par Dieu ou autre – car pendant près de 70 ans, il fut l’agresseur en utilisant une brutalité génocidaire similaire à celle des Nazis. L’objectif du sionisme de créer un « Grand Israël » exige l’expulsion « définitive » des non-juifs, même si cela signifierait que – comme l’a récemment déclaré le ministre de l’intérieur israélien – « Gaza soit envoyée au temps du Moyen-Âge. » Pendant la Seconde guerre mondiale, d’innombrables vies et ressources ont été consacrées pour vaincre le nazisme. Pourtant, aujourd’hui, aucun effort n’est fait alors qu’une forme maléfique encore plus insidieuse détruit lentement le concept de gouvernance démocratique et que la décence humaine se meurt.

      Le moment est venu pour que la ‘majorité silencieuse’ proclame enfin tout haut son outrage – sans manifestations, ni violences – en envoyant sans relâche des messages courriel à leurs représentants élus. Les politiciens immoraux dont la boîte de réception est régulièrement inondée de milliers de courriels prendre vite conscience qu’ignorer la volonté de la majorité pour servir la minorité sioniste et les intérêts des entreprises n’aboutirait pas à leur réélection. Le peuple palestinien ne devrait pas être obligé de continuer à payer le prix pour le complexe de culpabilité de l’occident concernant l’Holocauste.

      5

      Mercredi 9 décembre

      Talbiyah, Jérusalem-Ouest

      Bien qu’étant confortablement retraité dans sa résidence de haut de gamme de 1,5 millions de dollars – des meubles sur mesure, une piscine et un jardin bien arrosé avec des pelouses bien entretenues – à Disraeli Street dans le riche quartier de Talbiyah à Jérusalem-Ouest où d’importants représentants gouvernementaux résidaient, Abe Goldman se levait tous les jours à sept heures du matin pour prendre un café en lisant les dernières nouvelles et ses courriels. Sud-africain né et élevé juif, Goldman connaissait déjà les ramifications d’être un colon indésirable dans un état d’apartheid, où le déplacement et l’oppression de la population indigène était un élément essentiel du colonialisme qui devait être continuellement justifié au reste du monde en contrôlant et en influençant sa perception à accepter l’inacceptable.

      L’essor fulgurant de Goldman à Johannesburg s’était produit après l’obtention de son diplôme en droit commercial à l’université Free State Faculty of Law à Bloemfontein. Après avoir passé trois ans dans un cabinet d’avocats commercial, il trouva un poste au département juridique d’un conglomérat minier qui contrôlait près de 1 200 filiales impliquées dans tout, de l’extraction du charbon anthracite à l’exploitation de la culture zouloue aux fins touristiques.

      Son opportunité de promouvoir sa carrière s’est alors produite fortuitement au début des années 60, lorsque le Conseil de sécurité des Nations Unies avait condamné l’apartheid et instauré un embargo volontaire sur les armes. En raison d’une série de sanctions accrue et continuelle contre l’Afrique du sud, le gouvernement afrikaner et les conglomérats des affaires devaient contourner les embargos et trouver d’autres sources d’approvisionnement et d’exportation. Israël était leur premier choix, non seulement en raison de ses relations juives commerciales sud-africaines, mais également en raison du fait que ces deux nations partageaient des défis sociopolitiques similaires.

      Au cours des premières années qui avaient suivi sa création en tant qu’état, Israël avait entretenu des relations amicales avec plusieurs pays africains anti-apartheid, dont le soutien à l’Assemblée générale des Nations Unis Israël devait contrer l’opposition musulmane arabe. Alors que les pays africains cessaient progressivement de soutenir Israël dont les politiques d’apartheid étaient perçues comme étant plus dures que celles des afrikaner en Afrique du sud, Israël fut obligé de chercher un allié africain alternatif et c’était avec l’Afrique du sud qu’une alliance d’intérêts partagés commença à se concrétiser. Pour commencer, les deux états ont été établis sur des terres volées des autochtones, tous deux étaient en infériorité numérique et entourés d’ennemis qui devaient être désunis et tenus à distance par la force militaire, et tous deux étaient souvent condamnés par les résolutions de l’ONU, qui dans le cas d’Israël СКАЧАТЬ