Histoire d'Henriette d'Angleterre. La Fayette Marie-Madeleine Pioche de La Vergne
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66

Voir p. 138 de ce volume.

67

Tome II, p. 99. – On en connaît au moins trois manuscrits, tous plus complets que l'imprimé de 1754. Un de ces manuscrits a servi à M. Charles Livet pour sa publication de La Princesse dans le troisième volume de l'Histoire amoureuse des Gaules, édition Jannet. La bibliothèque nationale en possède deux; l'un fait partie d'un recueil de pièces satiriques et a pour titre: Histoire de Madame et du comte de Guiche, de Madame la comtesse de Soissons et de M. de Wardes (In-4o, f. fr. 15229). L'autre, intitulé Histoire des amours de Madame, est précédée d'une relation confuse et erronée des relations de Louis XIV avec Madame qui ne peut être du même auteur que le reste (In-8o, f. fr. 13777). Nous donnons en appendice deux fragments de ce libelle.

68

Sur Montalais, voir p. 60.

69

L'habit de cour qu'on ne pouvait porter sans brevet.

70

Lettre du 26 mai 1683.

71

Voir la Princesse, à la fin de ce volume. – Je cite ici d'après le ms. de la biblioth. nat., f. fr. 13777.

72

Voir p. 116.

73

Lettre à madame de Saint-Chaumont, Cosnac, loc. cit., p. 407.

74

Lettre de Louis XIV, septembre 1669.

75

Dans la dédicace d'Andromaque, en 1667.

76

«Bérénice fut un duel dont tout le monde sait l'histoire. Une princesse fort touchée des choses de l'esprit, et qui eût pu les mettre à la mode dans un pays barbare, eut besoin de beaucoup d'adresse pour faire trouver les deux combattants sur le champ de bataille sans qu'ils sussent où on les menoit.» (Fontenelle, Vie de Corneille, dans l'Histoire de l'Académie françoise, par Pellisson, 1729, in-4o, p. 195.)

77

Voir p. 118 de cette édition.

78

Voir Appendice II, à la fin de ce volume.

79

Edit. Chéruel, 1856, t. III, p. 180 et suiv.

80

Saint-Simon dit, par exemple, qu'un garçon de la chambre de Madame fit l'eau de chicorée, et madame de La Fayette, qui était de la maison et savait comment tout s'y passait, dit précisément que madame Desbordes, première femme de chambre de Madame, prépara l'eau de chicorée. Il fallait que Saint-Simon fût bien mal renseigné sur madame, car il dit dans ce récit qu'elle «étoit d'une très bonne santé». La lettre de Guy Patin qu'on a lue plus haut, le sentiment de Monsieur Vallot sur la mort de Madame (ms. de Conrart, t. XIII), l'abominable propos de Monsieur, pendant le voyage de Flandre (Voir p. 120 de notre édition), prouvent que Madame n'avait pas même les apparences de la santé. Mademoiselle de Montpensier qui la vit après le voyage de Douvres fut effrayée: «Elle (Madame) entra chez la reine comme une morte habillée, à qui on auroit mis du rouge, et comme elle fut partie, tout le monde dit, et la reine et moi nous nous souvînmes que nous avions dit: «Madame a la mort peinte sur le visage.» (Mémoires de mademoiselle de Montpensier, collection Petitot.)

81

Voir la note 244 page 123. Lisez cette note en mettant une virgule au lieu d'un point à la ligne 5 (entre t. III et l'abbé Bourdelot).

82

1872, in-8o, pp. 429 et suiv. Cette étude avait d'abord été publiée dans la Philosophie positive, en septembre-octobre 1867. – M. Littré a mis Valet pour Vallot et le chevalier du Temple pour le chevalier Temple.

83

Madame de La Fayette dit que cette eau était dans une bouteille. Saint-Simon dit qu'elle était dans un pot. Cela n'a l'air de rien et pourtant trahit l'arrangement. D'Effiat pouvait jeter très vite le poison dans un pot. Le couler dans une bouteille était plus difficile et plus long. On risquait d'être surpris pendant l'opération. La métamorphose de la bouteille en pot a donc son intérêt.

84

Lefèvre d'Ormesson dit, dans son journal: «Les dames qui étoient avec elle (Madame) avoient bu de cette même eau et ne l'avoient point trouvée si mauvaise.» (t. II, p. 593). Mais Lefèvre d'Ormesson ne fut pas témoin et madame de La Fayette l'était. Ce qui est rapporté à ce sujet dans une lettre de Bossuet, citée par Floquet, est encore moins croyable, car la lettre elle-même est véhémentement soupçonnée d'être fausse. «Monsieur, est-il dit dans cette lettre, Monsieur qui avoit donné à boire à Madame de Meckelbourg, qui s'y trouva, acheva de boire le reste de la bouteille pour rassurer Madame.» On voit dans la relation de madame de La Fayette qu'il était lui-même peu rassuré et nullement disposé à tenter une épreuve de ce genre.

85

Et comme le curare.

86

Ulcère simple de l'estomac (Cruveilhier), ulcère perforant de l'estomac (Rokitansky).

87

Mémoire d'un chirurgien du roi d'Angleterre, voir plus haut, page XV, note 9

88

Pathologie, 1877, t. II, p. 159.

89

Les 2, 3 et 4 novembre.

90

Loc. cit. p. 309.

91

Jaccoud, loc. cit., p. 162.

92

Jaccoud, loc. cit., p. 160.

93

Voir p. 123, note 1.

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