Histoire d'Henriette d'Angleterre. La Fayette Marie-Madeleine Pioche de La Vergne
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      1

      Page 5 de notre édition.

      2

      Page 100 de notre édition.

      3

      Notice sur madame de La Fayette, collect. Petitot, t. LXIV, page 360.

      4

      Page 115 de notre édition.

      5

      Comparez, pour mieux sentir cela, la relation de la mort d'Henriette par madame de La Fayette et la relation de la mort de madame de Beaumont par Chateaubriand (dans les Mémoires d'Outre Tombe).

      6

      Page 33 de notre édition.

      7

      «Estant à Sainte-Marie de Chaliot où elle a pratiqué beaucoup de vertus, nous l'avons veue prendre sens répugnance et sens chagrin le soin de sa despence quy a esté en certains temps fort petite; elle en fesoit les contes, et s'occupoit à cela dens un esprit de pénitence et d'humilité». (Mémoire ayant servi à Bossuet pour l'Oraison funèbre de Henriette-Marie de France, Londres, 1880, in-4o, pp. 27-28). Ce mémoire, fort curieux, a été publié pour la première fois par M. Gabriel Hanotaux.

      8

      Le 14 juillet 1648. Mémoires de madame de Motteville, collect. Petitot, t. XXXVII, p. 414.

      9

      Voir le mémoire publié par M. G. Hanotaux:

      «Nous luy avons veu vendre touttes ses hardes l'une après l'autre, ces meubles et le reste de ces piéreries, et engager jusques aux moindres choses pour pouvoir subsister quelques jours de plus. Elle nous fit l'honneur de nous dire un jour, estant dans les grandes Carmélites, qu'elle n'avoit plus ny or ny argent à elle qu'une petite tasse dens quoy elle buvoit.» P. 28.

      10

      Elle était de dix mille écus par mois, mais ne suffisait pas à soutenir la foule des pauvres royalistes.

      11

      Mémoires du cardinal de Retz, publ. par A. Feillet, édit. A. Regnier, t. II, p. 197.

      12

      Mémoires de mademoiselle de Montpe

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Page 5 de notre édition.

2

Page 100 de notre édition.

3

Notice sur madame de La Fayette, collect. Petitot, t. LXIV, page 360.

4

Page 115 de notre édition.

5

Comparez, pour mieux sentir cela, la relation de la mort d'Henriette par madame de La Fayette et la relation de la mort de madame de Beaumont par Chateaubriand (dans les Mémoires d'Outre Tombe).

6

Page 33 de notre édition.

7

«Estant à Sainte-Marie de Chaliot où elle a pratiqué beaucoup de vertus, nous l'avons veue prendre sens répugnance et sens chagrin le soin de sa despence quy a esté en certains temps fort petite; elle en fesoit les contes, et s'occupoit à cela dens un esprit de pénitence et d'humilité». (Mémoire ayant servi à Bossuet pour l'Oraison funèbre de Henriette-Marie de France, Londres, 1880, in-4o, pp. 27-28). Ce mémoire, fort curieux, a été publié pour la première fois par M. Gabriel Hanotaux.

8

Le 14 juillet 1648. Mémoires de madame de Motteville, collect. Petitot, t. XXXVII, p. 414.

9

Voir le mémoire publié par M. G. Hanotaux:

«Nous luy avons veu vendre touttes ses hardes l'une après l'autre, ces meubles et le reste de ces piéreries, et engager jusques aux moindres choses pour pouvoir subsister quelques jours de plus. Elle nous fit l'honneur de nous dire un jour, estant dans les grandes Carmélites, qu'elle n'avoit plus ny or ny argent à elle qu'une petite tasse dens quoy elle buvoit.» P. 28.

10

Elle était de dix mille écus par mois, mais ne suffisait pas à soutenir la foule des pauvres royalistes.

11

Mémoires du cardinal de Retz, publ. par A. Feillet, édit. A. Regnier, t. II, p. 197.

12

Mémoires de mademoiselle de Montpensier, collect. Petitot, t. XLIII, p. 157.

13

Mémoires de La Fare, collect. Petitot, t. LXV, p. 176.

14

«On trouva… le poumon adhérant aux côtes du côté gauche, rempli d'une matière spumeuse, le côté droit meilleur, mais non pas tout à fait bon.» (Mémoire d'un chirurgien du roi d'Angleterre qui a été présent à l'ouverture du corps de Madame. Biblioth. nat., ms. franç. no 17052.)

15

Lettres de Guy Patin, Paris, 1846, in-8o, t. II, p. 127.

16

Mémoires de Cosnac, t. I, pp. 420-421.

17

Cosnac, loc. cit., pp. 420-422.

18

Mémoires de madame de Motteville, collect. Petitot, t. XXXVIII, p. 317.

19

Choisy dit, il est vrai, que les yeux de Madame étaient noirs. Mais les yeux bleus, ceux surtout qui sont d'un bleu de saphir, et ce sont les plus beaux, paraissent noirs quand la pupile est dilatée. Voici d'ailleurs, si peu qu'il vaille, le portrait tracé par l'abbé: «Jamais la France n'a vu une princesse plus aimable qu'Henriette d'Angleterre, que Monsieur épousa: elle avoit les yeux noirs, vifs et pleins du feu contagieux que les hommes ne sauroient fixément observer sans en ressentir l'effet; ses yeux paroissoient eux-mêmes atteints du désir de ceux qui les regardoient. Jamais princesse ne fut si touchante, ni n'eut autant qu'elle l'air de vouloir bien que l'on fût charmé du plaisir de la voir. Toute sa personne étoit ornée de charmes; l'on s'intéressoit à elle et on l'aimoit sans penser que l'on pût faire autrement. Quand quelqu'un la regardoit, et qu'elle s'en apercevoit, il n'étoit plus possible de ne pas croire que ce fût à celui qui la voyoit qu'elle vouloit uniquement plaire. Elle avoit tout l'esprit qu'il faut pour être charmante, et tout celui qu'il faut pour les affaires importantes, si les conjonctures de les faire valoir se fussent présentées, et qu'il eut été question pour lors à la Cour d'autre chose que СКАЧАТЬ