Histoire d'Henriette d'Angleterre. La Fayette Marie-Madeleine Pioche de La Vergne
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СКАЧАТЬ Princesse ou les amours de Madame, dans l'Hist. amoureuse des Gaules, 1754, t. II, p. 119.

21

La Princesse, loc. cit., p. 108.

22

Buste. «Madame Henriette-Anne, Princesse de la Grande-Bretagne. CM del.» – Nous reproduisons ce portrait ci-contre. Des épreuves postérieures portent «Henriette-Anne d'Angleterre, duchesse d'Orléans, née à Exeter le 16 juin 1644, morte à Saint-Cloud le 30 juin 1670. Cl. Mellan G. del. et sc.»

23

«Henriette d'Angleterre, dernière fille de Charles Ier, Roy de la Grande-Bretagne, et de Henriette-Marie de France, née à Excester, le 15 juin 1644, accompagna la Reine sa mère, lors qu'elle se sauva par mer en France. A Paris, chez L. Boissuin.» Non signé.

Le même: – «Van der Werff pinxit. J. Audran sculpsit.»

Plus récemment les graveurs Tavernier et Dieu ont donné chacun une copie très-infidèle de ce portrait de Van der Werff. On le trouve reproduit à l'eau forte, en tête de ce volume, par M. Boulard fils.

24

De face. «Henriette d'Angleterre, duchesse d'Orléans, dernière fille de Charles Ier du nom, roy de la Grande-Bretagne, et de Henriette-Marie de France, nasquit à Exceter le 15 juin 1644, accompagna la reine sa mère lors qu'elle se sauva par mer en France, espousa Philippe de France, duc d'Orléans, frere unique du Roy.»

25

De trois quarts. Elle porte une guimpe empesée et montante; le costume est sévère. C'est ainsi que la reine accouchée aurait voulu voir Madame à ses relevailles (v. p. xvj). Au fond, une draperie dont un coin soulevé laisse voir à gauche une chasse en forêt.

26

De trois quarts. «Henriette d'Angleterre, duchesse d'Orléans.»

27

De face. «Henriette Stuard, Desroches sc.»

«Cette princesse à qui tout avoit concouru,«Pour lui gagner les cœurs et se voir adorée«Semble n'avoir paru«Que pour estre pleurée.»

28

De face. «Henriette-Anne d'Angleterre épouse de Philippe de France duc d'Orléans. G. Schouten f.» Plusieurs épreuves non signées. Ce portrait a été mis dans l'édition de 1720.

29

No 2083 du catalogue. – Ecole française, XVIIe siècle. – H. 0,72-L. 0,62. On lit en haut du tableau: HENRIETTE-ANNE DANGLETERRE DUCHESSE DORLÉANS.

30

No 2502 du catalogue. – Ecole de Mignard. – H. 0, 76-L. 0, 63. Elle est représentée assise, vêtue d'une robe bleue fleurdelisée. On lit sur le tableau: HENR. D'ANGL. D. DORLans.

31

No 3503 du catalogue. H. 1,75. – L. 1,39.

32

No 2157 du catalogue. «Famille de Louis XIV par Jean Nocret.» Madame y porte le costume et les attributs du Printemps.

33

Discours au roi, 1666.

34

L'abbé se faisait appeler, comme on sait, madame de Sancy. Sur la fausse dame de Sancy, voir la chanson:

Sancy, au faubourg Saint-Marceau,Est habillé comme une fille.Tout le peuple de Saint-MédardAdmire comme une merveilleSes robes d'or et de brocard,Ses mouches, ses pendants d'oreille,Son teint vif et ses yeux brillants.Il aura bientôt des amants.

(Ms. de Choisy, t. III, fo 57.)

35

Mémoires de Choisy, collect. Petitot, t. LXIII, p. 127.

36

Page 44 de notre édition.

37

Mémoires, coll. Petitot, t. XXXIX, p. 117.

38

Oraison funèbre d'Henriette d'Angleterre.

39

T. II, p. 2, avec le fac-simile en regard.

40

Sur madame de Monaco, voir page 40, la note 164. – Sur madame de Thianges, voir page 16, note 124.

41

Catalogue Chambry, par Etienne Charavay, 1881 no 381.

42

Mémoires de Cosnac, t. I, p. 415.

43

Voir p. 139 de notre édition.

44

Dictionnaire de Furetière, au mot galanterie.

45

Remarques sur la langue françoise, utiles à ceux qui veulent bien lire et bien écrire. 1647, in-4o.

46

Dans le Trévoux, au mot galant. Voir aussi La Bruyère: «Une femme galante veut qu'on l'aime, etc., etc.»

47

Mémoires de mademoiselle de Montpensier, coll. Petitot, t. III, p. 389.

48

Remarquons en passant que Molière fait parler Mascarille et Jodelet, non comme des valets qui singent leurs maîtres, mais comme des marquis véritables. Ce qu'ils disent est ridicule, mais n'est nullement de mauvais ton. Il n'est pas extraordinaire qu'en les écoutant Cathos et Madelon crussent entendre des personnes de qualité. Mademoiselle de Scudéry ou quelque autre «illustre» de l'hôtel de Rambouillet s'y fût trompée comme elles.

49

«Il avoit épousé la fille du duc de Sully, petite-fille, par sa mère, du chancelier de France [Séguier], bien faite, sage et riche; mais jusqu'alors (1665), elle avoit été mariée sans l'être.» (Mémoires de madame de Motteville, collect. Petitot, t. XL, p. 227.) Si l'on était sous Louis XV, cela ne voudrait rien dire, puisqu'il s'agit d'une femme, non d'une maîtresse. Mais nous sommes en 1665, et le mot est significatif. D'ailleurs madame de Sévigné est plus nette encore, à propos d'une maîtresse. (Voir plus bas, p. XLIV.)

50

Un sottisier lui fait dire aux dames:

… je n'ai point d'armes

Pour vous servir, comme le grand Saucourt.

51

Lettre du 15 janvier 1672. – Elle écrivait trois mois auparavant: «Le comte de Guiche est à la Cour tout seul de son air et de sa manière, un héros de roman, qui ne ressemble point au reste des hommes (Lettre du 7 octobre 1671).»

52

Les deux lettres qu'on trouve pour la première fois dans l'édition de 1754 de l'Histoire amoureuse des Gaules (t. II, pp. 120 et 148) sont apocryphes. Voir Appendice I, à la fin de ce volume.

53

Lettre du 15 janvier 1672.

54

Lettre du 29 avril 1672.

55

Ermeland, en latin Varmia, petit pays dans le palatinat de Marienbourg, qui appartint à la Pologne de 1466 à 1772. L'évêque avait le titre de Prussiæ regiæ primas.

56

Elles nous ont été communiquées par M. Etienne Charavay.

57

Cela nous ramène encore aux Précieuses ridicules et à la «furieuse plaie» de Mascarille. Je le répète, ce Mascarille est un vrai marquis.

58

Page 99 de cette édition.

59

Mémoires de madame de Motteville, coll. Petitot, t. XL, p. 232.

60

Lettre du 13 janvier 1672.

61

Lettre du 27 avril 1672.

62

L'archevêque de Rouen était Harlay de Chanvallon.

63

Mémoires du maréchal de Gramont, édit. Petitot, t. LVII, p. 95.

64

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