Chroniques de J. Froissart, Tome Premier, 1re partie. Froissart Jean
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СКАЧАТЬ 77 à 79. Cf. Jean le Bel, Chroniques, éd. Polain, t. I, p. 79 à 81.

30

P. 126 à 129. Cf. Jean le Bel, t. I, p. 127 à 129.

31

Il faut lire dans J. de Hemricourt la description du train de vie fastueux que menait le chanoine grand seigneur: «… Ilh n'alloit onkes les commons jours delle semaine alle eglize qu'ilh n awist sauzo ou vingt personnes quy le conduysoient, tant de ses proymes come de ses maynyes et de cheaz quy estoyent à ses dras. Et quant c'estoit az jours solempnes, chilz quy estoyent à ses dras le venoyent quère en son hosteit et le mynoyent alle eglize. Sy avoit soventfois assy grant rotte après ly com après l'evesque de Liège, car ilh avoit bin chinquante ou de moins quarante parsiwans qui tos demoroient al dineir deleis ly…» Miroir des nobles de la Hasbaye, par Jacques de Hemricourt, éd. de Salbray, p. 158.

32

P. 211.

33

Ms. 2655, fo 154. Cf. Froissart de Buchon, éd. du Panthéon, t. I, p. 259.

34

Ms. 2655, fos 312 et 313. Cf. Froissart de Buchon, t. I, p. 593 à 595.

35

Bibl. imp., ms. fr. coté 831, fo 161 vo.

36

Étude sur Froissart, par M. Kervyn de Lettenhove, t. I, p. 242 et 243, en note.

37

Bibl. imp., ms. fr. no 831, fo 157 vo.

38

Ms. de Besançon, t. II, fo 201.

39

Étude littéraire sur Froissart, par M. Kervyn, t. I, ch. XII, p. 242 à 246.

40

Cf. dans Buchon, t. II, p. 49.

41

Ms. de Besançon, fo 371 vo. Le manuscrit de notre Bibliothèque impériale coté 2649, reproduction généralement fidèle de celui de Besançon, contient quelques lignes seulement de plus que la partie de ce dernier manuscrit qui correspond au premier livre des autres exemplaires de la première rédaction proprement dite. Le manuscrit 2649 se termine à ces mots: «… ains passèrent oultre et prindrent.» Cf. Froissart dans Sauvage, édit. de 1559, t. I, p. 457, ligne 11.

42

Cf. dans Buchon, t. I, p. 717, col. 2, fin du chap. 394.

43

Cf. dans Buchon, t. II, p. 4, fin de la col. 1.

44

Selon M. Kervyn, cette version plus originale, particulière aux manuscrits de la première rédaction revisée pour les années 1350 à 1356, serait postérieure à 1388, époque du voyage de Froissart en Béarn: «Elle est postérieure à 1388, dit-il, puisque Froissart y raconte les démêlés du sire d'Albret avec les habitants de Capestang, d'après ce que ceux-ci lui dirent. Je la crois écrite vers 1391.» Froissart, t. I, p. 243 en note. Voici le passage sur lequel s'appuie l'argumentation de M. Kervyn: «Depuis me fu dit qu'ils (il s'agit des habitants de Capestang) laissèrent prendre leurs ostages…» Voyez Buchon, éd. du Panthéon, t. I, p. 317. Froissart ne dit nullement dans ce passage qu'il tient les détails qu'il va raconter de la bouche même des habitants de Capestang; par conséquent il n'y a pas lieu d'en conclure avec M. Kervyn que la version des manuscrits revisés pour les années 1350 à 1356 est postérieure au voyage du chroniqueur en Béarn en 1388 et a été écrite vers 1391.

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Voyez p. 26, l. 21. Le texte devient semblable dans les manuscrits des deux branches après ces mots: Si singlèrent par mer.

46

Les manuscrits désignés simplement par un chiffre appartiennent à notre Bibliothèque impériale. Il faut ajouter à la liste ci-jointe, le bel exemplaire du premier livre conservé dans la bibliothèque du château de Branitz (Prusse). Malheureusement, il ne nous a pas été donné de voir, d'étudier nous-même ce manuscrit; et les renseignements transmis par Son A. le prince de Puckler-Muskau ne nous ont pas permis de le comprendre dans notre classement.

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Mon ami, M. A. Castan, a publié une excellente étude sur le ms. de Saint-Vincent de Besançon. Bibl. de l'École des Chartes, t. XXVI, p. 114 à 148. Buchon croyait ce manuscrit égaré si non perdu; M. Castan ne l'a pas seulement retrouvé, il a éclairci toutes les questions qui s'y rattachent.

48

Sur la manière dont se terminent ces manuscrits, voyez ce qui a été dit plus haut, p. XIII et XIV, XXVII et XXVIII.

49

Voyez l'édition imprimée par Johnes en son château d Hafod en 1803, formats in-4o et in-8o. Johnes est également l'auteur d'une traduction anglaise des Mémoires de la Curne de Sainte-Palaye sur Froissart, qui parut à Londres en 1801. Notre chroniqueur a su toujours inspirer de belles passions à nos voisins; espérons que Johnes aura des successeurs.

50

Dans ce tableau, comme dans le précédent, les manuscrits désignés par un simple chiffre appartiennent à notre Bibliothèque impériale.

51

Ce manuscrit, qui provient du fonds de Gaignières, est toujours appelé dans les variantes du texte de ce volume: Ms. de Gaignières. Dans les volumes suivants, il sera désigné sous la rubrique B3, le ms. 6477 à 6479 sous la rubrique B1, le ms. de Mouchy-Noailles sous la rubrique B4.

52

Voyez le chapitre I de la seconde partie de cette introduction.

53

Sur la manière dont se termine le premier livre dans les divers manuscrits de la première rédaction revisée, voyez plus haut la fin du § 2, p. XIII et XIV, XXVII et XXVIII.

54

Le copiste doit avoir oublié un C. Ces mots: que Dieu absol ne peuvent se rapporter qu'à Philippe le Bon, duc de Bourgogne, mort à Bruges le 14 juin 1467.

55

Notre édition est la seule où l'on ait utilisé ce précieux abrégé.

56

Grand in-fol. vélin de 208 feuillets. Le texte est disposé sur deux colonnes dont chacune a soixante lignes. Ecriture de la première moitié du quinzième siècle.

57

In-4o papier de 123 feuillets. Le texte est disposé sur une seule colonne. Écriture de la fin du quinzième siècle.

58

P. 425 à 427 de ce volume.

59

Voyez la note de la p. 329.

60

P. 244, dernière ligne, 264, 277, 281, 297, 308, 383, etc. Le manuscrit 6477-6479, auquel nous avons emprunté le texte du premier livre et où l'empreinte wallonne est aussi très marquée, offre parfois la même particularité. Voyez p. 19, l. 17.

61

«… si qu'ilz ne seurent dedens deux jours leur il estoient.» fo 9 vo. – «… liiez sur une esquielle leur tout le peuple le veoient.» fo 12 vo.

62

P. 253.

63

p. 277.

64

Ms. de Valenciennes, fo 12 vo.

65

Ibid. , fo 18 vo.

66

P. 446.

67

p. 485 et 490.

68

p. 445.

69

p. 490.

70

p. 485.

71

P. 221: «… acquerre et pourchachier amis et confortans…» Pourchachier est une forme wallonne du français actuel pourchasser.

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