Chroniques de J. Froissart, Tome Premier, 1re partie. Froissart Jean
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СКАЧАТЬ est une forme vraiment étrange qui pourrait bien être l'équivalent de couchier.

73

En attendant le glossaire qui doit être joint à cette édition, c'est ici l'occasion de signaler aux philologues le mot kecke dans le passage suivant du ms. d'Amiens: «… chiaux de se kecke ensanglantés…» Voyez page 264. M. Kervyn a lu: sieute. Œuvres de Froissart, Chroniques, t. II, p. 123. C'est bien le sens, mais sieute n'est pas dans le manuscrit.

74

Voyez chap. I, § 1, p. VII à IX.

75

P. 349.

76

P. 349, en note.

77

Voyez nos variante, p. 211, 213, 217, etc. Les lacunes du manuscrit d'Amiens ont été comblées à l'aide du texte de Valenciennes.

78

P. 211, l. 14.

79

Mémoire sur le manuscrit de Froissart de la ville d'Amiens et en particulier sur le récit de la bataille de Crécy, par M. Rigollot, dans le t. III des Mémoires de la société des antiquaires de Picardie, p. 133, en note.

80

Études sur l'histoire des arts au moyen âge, par Pinchart, p. 17 et 18.

81

Un extrait des comptes du receveur de Binche, publié par M. Pinchart, constate que, le 25 juillet 1382, le duc de Brabant fit don d'une somme de dix francs valant douze livres dix sous «à messire Jehan Froissard, curet de Lestinnez ou Mont, pour un livre qu'il fist pour monseigneur.» Qui sait si ce livre n'était pas un exemplaire de la seconde rédaction du premier livre?

82

Les mots: Carles de Blois que le copiste n'avait sans doute pas pu lire ont été laissés en blanc dans le manuscrit d'Amiens, mais nous les avons restitués à l'aide du manuscrit de Valenciennes.

83

Ms. de Besançon, t. II, fo 333. Les premiers mots omis dans le ms. de Besançon ont été restitués à l'aide des mss. de notre Bibliothèque impériale, qui appartiennent à la même famille.

84

La forme Lestinnes, qui paraît être une abréviation de les Estinnes, est seule usitée dans les documents du quatorzième siècle.

85

Nous devons l'indication détaillée de cet acte, conservé aux Archives du Nord, dans le fonds de la Chambre des Comptes, carton B744, à l'obligeance de MM. Desplanque, Mannier et Losfeld. Voyez l'Inventaire sommaire des archives du Nord, t. I, p. 130 et 131.

86

Lessines, Belgique, prov. Hainaut, arr. Thuin, chef-lieu de canton.

87

En vertu d'une transaction datée du 13 mai 1363, une rente de deux mille livres fut donnée par le comte de Hainaut à titre d'apports d'Elisabeth de Hainaut, mariée à Robert de Namur en 1354; et cette rente fut constituée «sur les terres d'Estrew (Estreux), de Chièvre et de Lessine.» Hist. généal., par le P. Anselme, t. II, p. 748.

88

Histoire de la maison de Chastillon-sur-Marne, par André du Chesne, p. 166 et 167. Paris, 1621, in-fol.

89

Bibl. imp., ms. fr. 831, fo 157 vo.

90

Étude littéraire sur Froissart, par M. Kervyn, t. I, p. 101.

91

Ms. d'Amiens, fo 93 vo.

92

Ibid.

93

Miroir des nobles de la Hasbaye, éd. de Salbray, p. 158.

94

Les vrayes chroniques de messire Jehan le Bel, publiées par M. L. Polain, t. II, p. 89.

95

Mémoires de la société des antiquaires de Picardie, t. III, p. 132 à 184. A la dissertation de M. Rigollot est joint un très-bon travail de M. de Cayrol.

96

P. 103 à 114.

97

P. 313 à 315, 316 à 319, 321, 322, 329 à 336, 341 à 352.

98

P. 377 à 388.

99

P. 126 à 129.

100

P. 395 et 396.

101

P. 388 à 393.

102

P. 394 et 395.

103

Ms. d'Amiens, fo 46 vo.

104

Ms. d'Amiens, fo 52.

105

Ms. d'Amiens, fo 83 vo.

106

P. 210.

107

P. 209.

108

On lit: «le roine», fo 5 ro; «le fille», fo 21 vo; «le bataille de Cassiel», fo 25 vo; «le mort dou conte», fo 26 ro; «le chevallerie dou conte Guillaume», fo 40 ro; «le bataille de Gagant», fo 41 ro, «le bataille de Crechy», fo 117 vo.

109

P. 234 de ce volume.

110

P. 236.

111

P. 239.

112

P. 243.

113

P. 245.

114

P. 247.

115

P. 239 et 240.

116

P. 471.

117

P. 269.

118

P. 247.

119

P. 257.

120

Froissart se donne à la fin du prologue de la première rédaction revisée (voyez p. 7) le titre de sire; il semble toutefois reconnaître implicitement qu'il n'y avait pas droit, car il ajoute aussitôt ce correctif: qui tant me voet honnerer. On sait en effet que la qualification de sire ou messire, appliquée parfois aux clercs à titre gracieux, était plus particulièrement réservée aux gentilshommes; mais il y a une noblesse innée, personnelle, qui s'impose en dépit de toutes les conventions sociales: qui posséda jamais cette noblesse à un plus haut degré que le chroniqueur de Valenciennes?

121

P. 304.

122

P. 214.

123

P. 224.

124

P. 243.

125

P. 249.

126

P. 294.

127

P. 306.

128

P. 307, 319 et 327.

129

P. 312.

130

P. 321.

131

P. 337.

132

P. 338.

133

Voyez p. 286 de ce volume en quels termes touchants Froissart parle de Philippe de Hainaut: «Et tant comme elle vesqui, li roiaulmes d'Engleterre eut grasce, prosperité, honnour et toutes bonnes aventures; ne onques famine ne chier temps de son resgne n'i demorèrent.» Ce passage appartient à la troisième rédaction, et Froissart était chanoine de Chimay lorsqu'il écrivit ce bel СКАЧАТЬ