L'Abbé de l'Épée: sa vie, son apostolat, ses travaux, sa lutte et ses succès. Berthier Ferdinand
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      Résumé des travaux de l'ex-Société centrale des sourds-muets de 1838 à 1843, par MM. Lenoir et Allibert, professeurs sourds-muets. – Rapports sur l'état des recettes et dépenses de cette Société dans le même intervalle de temps, par MM. Dubois et Imbert, le premier sourd seulement, le second sourd-muet.

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      Toutefois, il y a apparence que ces infortunés étaient mieux traités chez les Romains, pourvu toutefois qu'ils montrassent de l'aptitude à une spécialité quelconque, puisque nous voyons Pline citer l'un d'eux, nommé Pedius, comme s'exerçant dans les beaux-arts.

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      Extrait de l'Annuaire de l'Institut des sourds-muets et des aveugles de Bruges, 1841, par M. l'abbé Carton, directeur de cet établissement.

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      Voyez la note A à la fin du volume.

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      La maison qui fut son berceau n'existe plus. Elle était située sur le terrain actuel de l'hospice, à l'angle des rues de Bourbon et de l'Abbé-de-l'Épée (naguère de Clagny).

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      Voyez la note B.

      7

      Voyez la note C.

      8

      Voyez la note D. – Copies authentiques de six pièces émanées des anciennes archives du diocèse de Troyes et déposées à la préfecture de l'Aube, précédées de la réponse de M. le chanoine Coffinet, secrétaire de cet évêché, à M. Sainte-James de Gaucourt, secrétaire de la Commission pour l'érection de la statue de l'abbé de l'Épée à Versailles.

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      En 1743.

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      La Revue ecclésiastique, 33e livraison, février.

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      Voyez la note E. – Observations d'un ecclésiastique aussi tolérant qu'éclairé, M. l'abbé Bouchot, aumônier de l'institution des sourds-muets d'Orléans.

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      Éloge de l'abbé de l'Épée, par Bébian, censeur des études de l'institution des sourds-muets de Paris.

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      Chateaubriand a dit quelque part en parlant des sauvages de l'Amérique:

      «La conversation devint bientôt générale, c'est-à-dire par quelques mots entrecoupés de ma part et par beaucoup de gestes, langage expressif que ces nations entendent à merveille et que j'avais appris parmi elles.»

      14

      Lettre seconde de l'instituteur des sourds-muets à M. l'abbé *** en 1772 (Institution des sourds-muets par la voie des signes méthodiques).

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      Institution des Sourds-Muets, par la voie des signes méthodiques. 1re partie. Page 89.

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      La Polygraphie ou écriture universelle, cabalistique, de Trithème. – L'ouvrage de Comenius intitulé: Janua linguarum reserta (1601). – Bécher de Spire (1661). Character pro notitiâ linguarum universale. – John Wilkins, an essay towards a real character and philosophical. – La Pasigraphie, ou écriture universelle, du chevalier de Maimieux. —L'anti-pasigraphie de Vater. —Manuel polyglote de Cambry, d'après le plan de Bécher. —Essai pasigraphique de Zacharie Nather. —Cours de Pasigraphie de Schmid, ouvert en 1807 au lycée de Dilengen.

      Ces citations sont extraites de l'Investigateur, journal de l'institut historique. Tome IX, 172e livraison. – Mars 1849.

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      Une liste de leurs ouvrages serait ici bien longue. Contentons-nous donc de citer quelques-uns, de ceux qui ont été publiés en français:

      Essai sur l'articulation de la voix, par Laurent de Blois, 1831.

      – La parole rendue aux sourds-muets, par le m

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Résumé des travaux de l'ex-Société centrale des sourds-muets de 1838 à 1843, par MM. Lenoir et Allibert, professeurs sourds-muets. – Rapports sur l'état des recettes et dépenses de cette Société dans le même intervalle de temps, par MM. Dubois et Imbert, le premier sourd seulement, le second sourd-muet.

2

Toutefois, il y a apparence que ces infortunés étaient mieux traités chez les Romains, pourvu toutefois qu'ils montrassent de l'aptitude à une spécialité quelconque, puisque nous voyons Pline citer l'un d'eux, nommé Pedius, comme s'exerçant dans les beaux-arts.

3

Extrait de l'Annuaire de l'Institut des sourds-muets et des aveugles de Bruges, 1841, par M. l'abbé Carton, directeur de cet établissement.

4

Voyez la note A à la fin du volume.

5

La maison qui fut son berceau n'existe plus. Elle était située sur le terrain actuel de l'hospice, à l'angle des rues de Bourbon et de l'Abbé-de-l'Épée (naguère de Clagny).

6

Voyez la note B.

7

Voyez la note C.

8

Voyez la note D. – Copies authentiques de six pièces émanées des anciennes archives du diocèse de Troyes et déposées à la préfecture de l'Aube, précédées de la réponse de M. le chanoine Coffinet, secrétaire de cet évêché, à M. Sainte-James de Gaucourt, secrétaire de la Commission pour l'érection de la statue de l'abbé de l'Épée à Versailles.

9

En 1743.

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