Son Partenaire Particulier. Grace Goodwin
Чтение книги онлайн.

Читать онлайн книгу Son Partenaire Particulier - Grace Goodwin страница 8

Название: Son Partenaire Particulier

Автор: Grace Goodwin

Издательство: Bookwire

Жанр: Языкознание

Серия: Programme des Épouses Interstellaires

isbn: 9783985229864

isbn:

СКАЧАТЬ mon mamelon durcir, il frotte son doigt sur le téton, fait tourner l’anneau d’or.

      « À quoi … à quoi servent les anneaux ? » Demandais-je doucement.

      Je frissonne à l’idée qu’un étranger—qui est aussi mon partenaire—me touche.

      « Nous parons nos femmes de bijoux, nous trouvons que les anneaux sont beaux et excitants. » Il regarde mes seins et répond. « Toutes nos partenaires portent des anneaux aux mamelons. En signe d’appartenance et de respect.

      – Ça ne fait pas mal, » je chuchote.

      Il sourit. « J’espère bien. Je ne veux te procurer que du plaisir, gara, rien d’autre. »

      Non, ça ne fait pas mal du tout. Le frottement du métal me procure une drôle de sensation. Mes mamelons ont toujours été très sensibles, mais maintenant, je me cambre pour épouser la forme de sa main.

      « Tu as été recrutée conformément à nos règles sociales. Ça prend normalement plusieurs semaines pour que les anneaux cicatrisent, je n’ai pas l’intention d’attendre aussi longtemps pour te toucher … ici. »

      Il donne un petit coup sur l’anneau et je halète. « Le transfert et ses avantages… mutuels. »

      –Et la chaîne ? »

      Tark soulève la chaîne, plusieurs petits disques d’or comportent une gravure. « C’est le symbole de ma naissance et de ma lignée. Ça signifie que tu m’appartiens. Jusqu’à ce que je te possède et te marque de façon permanente, c’est aussi un gage de protection.

      –De protection ? » Je ne vois pas comment des anneaux de mamelons me protégeraient, mais vue la façon dont il continue de jouer avec, je m’en contre-fiche.

      « Personne n’osera toucher ce qui appartient au haut conseiller. » On dirait un homme des cavernes possessif.

      « Assez posé de questions. Place tes mains sur ta tête, que je puisse t’examiner. »

      Je me fige, je me protège avec les mains. « Tark, je ne—

      –Ça… » Il agite un peu sa main et tire doucement sur la chaîne, une décharge de plaisir va de mes mamelons jusqu’à mon clitoris, « … c’est un outil dont je me servirai pour que tu apprennes à obéir, gara. L’une des nombreuses manières que ton corps apprendra pour obéir au mien—et apprendre à te taire. »

      Il relâche la chaîne et je la sens à nouveau sur ma peau, le métal froid est devenu chaud suite à son contact. Tark prend mes poignets dans ses grosses mains et me fait pivoter jusqu’à ce que mes mains soient au-dessus de ma tête sur la table d’examen, comme il me l’a demandé.

      « À moins que tu ne préfères que je te mette à plat ventre et que je te frappe à nouveau. À toi de voir. »

      Je lève les yeux au ciel et m’aperçois qu’il l’envisage sérieusement.

      « J’ai pas vraiment le choix, » dis-je en ronchonnant.

      Il me décoche un petit sourire. « Tu apprends vite, gara. Sache que je ne te ferai jamais de mal. Et je ne te permettrai pas qu’on te fasse du mal. Bron— il crache le nom du type —est nouveau dans mon service. Vu la façon dont il s’est comporté, je nommerai un nouveau médecin dès notre retour au palais. Je ne permettrai pas qu’il traite ma partenaire de la sorte. »

      Il n’a donc pas cautionné l’attitude du médecin tout à l’heure. Si j’avais tenu ma langue, Tark aurait licencié cet homme et j’en serais au même point—sans les fesses en feu.

      Le regard de Tark passe de mes gros seins à mon visage. « Je vais te toucher, tu vas me dire si tu ressens la moindre gêne ou douleur depuis ton transfert. »

      Ses mains descendent de mes bras à mes seins, de ma poitrine à mes hanches. J’ai la chair de poule. Il découvre mon corps tel un spécimen fascinant, quelque chose de jamais vu, pas forcément avec une connotation sexuelle. La douceur de son contact apaise mes craintes, je ne peux m’empêcher de me concentrer sur autre chose.

      La chaleur de ses mains. Les battements de mon cœur. Ses mains sont chaudes comme du feu et il est très minutieux. Malgré ma réticence psychique de refuser qu’un étranger me touche si intimement et malgré le stress des dernières semaines, mon corps sait ce qu’il veut et ce dont il a besoin. Il répond avec un désir si vif que j’en suis la première surprise. Ses mains passent sur mes jambes et glissent entre mes cuisses.

      Je halète, je me cambre sur la table comme s’il m’avait fait subir un choc électrique. Je ferme les genoux, sa main est prisonnière. Il relâche son étreinte sur mes poignets et dessine la courbe de mon ventre jusqu’à la chaîne et tire légèrement dessus. Je crie et ferme les yeux. Le voir devant moi, dominateur, intense, me fait penser à l’impensable. Comme permettre à un parfait étranger de toucher ma chatte. Non, pas permettre, vouloir. Je veux que mon partenaire me touche.

      C’est quoi mon problème ? Le transfert m’a rendue folle ? Je suis une chaudasse ? J’ai un neuro-processeur jouant le rôle de stimulant sexuel qui booste ma libido ? Il s’agit purement et simplement de sa testostérone.

      « Ecarte tes jambes, gara. Maintenant. N’aie pas peur.

      –Je ne suis pas… Je ne… »

      Je n’ai pas peur de lui. Au contraire. J’ai peur de moi, peur de lui donner ce qu’il veut en retour. Je ne le connais pas le moins du monde, mais ses mains douces et ses ordres menacent de briser ma retenue, de briser les règles que j’ai instaurées auprès des hommes. Et je viens à peine de le rencontrer.

      Il s’approche, sa bouche se referme sur mon mamelon ; sa langue tourne autour du petit anneau, je pousse un gémissement de plaisir. « Ouvre-toi pour moi, partenaire. Montre-moi ce qui m’appartient. »

      Sa main. Son baiser. Sa chaleur.

      Mon partenaire. Le mien. Il m’appartient autant que je lui appartiens. Du moins pour le moment.

      J’écarte mes genoux en grand et ouvre les yeux tandis qu’il délaisse mes seins et se rapproche de mon sexe.

      Sur les coudes, je regarde mon corps et j’écarquille à nouveau les yeux. « Je n’ai plus de poils. »

      Je pensais que ça serait différent… en bas, mais j’étais trop distraite par les anneaux, la chaîne de mamelons et la fessée pour remarquer qu’on m’a rasée la chatte.

      « C’est sensible n’est-ce pas ? » Il pose la question et se penche pour souffler de l’air chaud sur les lèvres de ma chatte.

      Il n’a peut-être jamais touché de terrienne avant mais il sait très bien s’y prendre. Il souffle à nouveau et je tressaille. Il me fixe, son visage est si proche qu’il peut sentir mon odeur, je me demande…

      « Je suis … comme les femmes de ta planète ?

      –Mmm. »

      Je pensais qu’il allait ignorer ma question, mais apparemment, il a décidé de pousser ses investigations plus avant. Tark prend quelque chose sur la table, un moment plus tard, il СКАЧАТЬ