Название: Henri IV (2e partie)
Автор: Уильям Шекспир
Издательство: Public Domain
Жанр: Драматургия
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Chroniques de Hollinshed, t. II, p. 543.
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On supposait que la mandragore représentait en petit la figure d'un homme.
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I was never manned with an agate till now. Il paraît que l'agate au doigt était le signe de dignité d'un alderman. Le peu d'épaisseur de la pierre, et les figures qu'elle représente, en font assez souvent dans Shakspeare un objet de comparaison pour des figures minces et petites. Manned signifie servi, pourvu d'un valet (man). Selon toute apparence, il signifiait aussi du temps de Shakspeare, qui a la main garnie; man dans le sens de main, est encore en anglais la racine de plusieurs mots; dans cette supposition manned produirait ici un jeu de mots, ce qui est toujours probable.
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Ceci fait probablement allusion à la tonte du drap, qui est une des dernières opérations de sa fabrication.
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He may keep it still as ou (selon les anciennes éditions) at a face-royal, for a barber shall never earn six pence out of it. Face-royal signifie certainement ici autre chose que royal face. C'était, selon toute apparence, le nom d'une pièce de monnaie, d'une valeur assez considérable, et le sens de la plaisanterie de Falstaff serait alors que le prince la conservera dans toute sa valeur, car un barbier ne gagnera jamais six pence dessus. Voilà ce qu'on y peut voir de plus cla
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On supposait que la mandragore représentait en petit la figure d'un homme.
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Ceci fait probablement allusion à la tonte du drap, qui est une des dernières opérations de sa fabrication.
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Le mauvais riche.
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Saint-Paul passait pour le rendez-vous des escrocs et des mauvais sujets.
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La tradition commune, suivie ici par Shakspeare, c'est que le lord grand juge Gascoygne, dont il est ici question, ayant fait arrêter pour félonie un des domestiques du jeune Henri, prince de Galles, celui-ci se rendit au tribunal pour demander qu'on le remît en liberté, et sur le refus du grand juge, se mit en devoir de le délivrer par force, et qu'alors le grand juge lui ayant commandé de se retirer, Henri s'emporta jusqu'à le frapper sur son tribunal. Cependant sir Thomas Elyot, qui écrivait sous Henri VI, dit simplement, en rapportant ce fait, que le prince s'avança vers le grand juge dans une telle fureur qu'on crut qu'il allait le tuer, ou lui faire quelque outrage; mais que le juge, sans se déranger de son siége, avec une contenance pleine de majesté, l'arrêta par les paroles suivantes:
«Monsieur, souvenez-vous que je tiens ici la place du roi, votre souverain seigneur et père, à qui vous devez une double obéissance. Je vous ordonne donc en son nom de vous désister sur-le-champ de votre entreprise téméraire et illégale, et de donner désormais bon exemple à ceux qui seront un jour vos sujets; quant à présent, pour votre désobéissance et mépris de la loi, vous vous rendrez à la prison du banc du roi, où je vous constitue prisonnier, et vous y demeurerez jusqu'à ce que le roi votre père ait fait connaître sa volonté.»
Sur quoi, le prince, frappé de respect, déposant aussitôt son épée, se rendit en prison. Shakspeare a suivi la version de Hollinshed, qui, d'après Hall, rapporte que le prince frappa le grand juge. Il suppose aussi, d'après le même écrivain, qu'à cette occasion Henri perdit sa place au conseil, où il fut remplacé par son frère Jean de Lancastre (
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Le grand juge a dit à Falstaff
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