Savaş ve Barış I. Cilt. Лев Толстой
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Название: Savaş ve Barış I. Cilt

Автор: Лев Толстой

Издательство: Elips Kitap

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isbn: 978-625-6865-50-1

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СКАЧАТЬ da “Kafanı dolduran bütün o saçmalıklar günün birinde uçar gider, görürsün…” diye bağladı sözlerini.

      Yeniden çıkmaya hazırlandı Prenses. Babası, bir el hareketiyle yine durdurdu onu. Yüksek masasının çekmecesinden, yaprakları henüz açılmamış bir kitap çıkarıp uzattı.

      “Al bakalım…” dedi. “Senin Heloise bir kitap daha göndermiş sana. Gizemin Anahtarı adlı bir din kitabı. Hiç kimsenin dindarlığı beni ilgilendirmez. Şöyle bir karıştırdım, o kadar! Al. Ve artık gidebilirsin, hadi!”

      Hafifçe vurdu kızının omuzuna. O çıktıktan sonra da kapıyı arkasından kilitledi.

      Prenses Mariya, yüzünde hüzünlü ve korkulu bir ifadeyle dönmüştü odasına. Bu ifade, aslında pek ender kaybolur ve genç kızın zaten güzel olmayan hastalıklı yüzünü daha da sevimsiz gösterirdi.

      Her yanı küçük fotoğraflar ve bir sürü defter kitapla dolu olan yazı masasının başına oturdu. Babası ne kadar düzene düşkünse Prenses de bir o kadar dağınık ve savruktu. Geometri defterini masanın üzerine koyup sabırsızlıkla açtı zarfı… Mektup, Prenses Mariya’nın en yakın çocukluk arkadaşından geliyordu; Rostofların isim gününde de bulunmuş olan Jülia Karagina’dan..

      Jülia şöyle başlamaktaydı:

      Chère et excellente amie, quelle chose terrible et effrayante que l’absence! J’ai beau me dire que la moitié de mon existence et de mon bonheur est en vous, que, malgré la distance qui nous sépare, nos coeurs sont unis par des liens indossolubles; le mien se révolte contre la destinée, et je ne puis, malgré les plaisirs et les distractions qui m’entourent, vaincre une certaine tristesse cachée que je ressens au fond du coeur depuis notre séparation. Pourquoi ne sommesnous pas réunies, comme cet été, dans votre grand cabinet sur le canapé bleu, le canapé à confidences? Pourquoi ne puisje, comme il y a trois mois, puiser de nouvelles forces mora-les dans votre regard si doux, si calme et si pénétrant, regard que j’aimais tant et que je crois voir devant moi quand je vous écris?

      Sevgili ve eşsiz dostum, biricik arkadaşım, ayrılık denilen şey ne kadar da korkunçmuş meğer! Hayatımın ve mutluluğumun yarısını sizde bulduğumu kendi kendime ne kadar tekrarlarsam tekrarlayayım, kalplerimizin bizi ayıran mesafeye rağmen kopmaz bağlarla bağlı olduğunu ne kadar söylersem söyleyeyim, yine de benim kalbim kadere isyan ediyor ve çevremdeki bütün eğlence ve oyalanma fırsatlarına rağmen ayrıldığımızdan beri içimde derin bir hüzün duymaktan kendimi alamıyorum. Neden şu anda da tıpkı yazın yaptığımız gibi sizin o geniş çalışma odanızdaki mavi sedirin, yüreklerimizi birbirimize açtığımız “sır sediri”nin, üzerinde yan yana oturmuş değiliz? Ve niçin bundan üç ay önce olduğu gibi şimdi de o tatlı, o sakin, o insanın derinliklerine ulaşan bakışlarınızdan, size bu mektubu yazdığım sırada karşımda görür gibi olduğum bakışlarınızdan, kuvvet alamıyorum?

      Prenses Mariya, mektubun burasına gelince içini çekti ve sağındaki yuvarlak aynaya baktı. Sevimsiz solgun yüzünü ve çelimsiz bedenini gördü aynada. Zaten daima hüzünlü bir ifade taşıyan gözleri, şimdi aynadaki görüntüsüne daha da umutsuz bakıyordu. Beni pohpohluyor! diye düşündü Prenses ve aynaya sırtını dönüp tekrar okumaya başladı. Oysa Prenses’in gerçekten iri, derin ve aydınlık bakışlı gözleri vardı (Güneşin ışınları, ışıldayan bir demet hâlinde bu gözlerden taşıp tüm çevreye yayılıyordu sanki.). Yani Jülia, arkadaşını katiyen pohpohlamamıştı aslında. Öyle güzel gözleri vardı ki çoğu zaman, yüzünün tüm çirkinliğine rağmen bakışlarıyla güzelliğin etkisini kat kat aşan bir etki yaratırdı… Ama o, kendi gözlerindeki bu ifadeyi hiç bilmiyordu; bu ifade ancak kendisini düşünmediği zamanlar gelir yerleşirdi bakışlarına. Kendisini aynada seyretmeye başlar başlamaz da yüzü, bütün insanlarda olduğu gibi anormal, gergin, sevimsiz bir ifadeye bürünürdü… Şöyle devam ediyordu Jülia:

      Tout Moscou ne parle que guerre, i’un de mes deux frères est déjà à l’étranger, l’autre est avec la garde, qui se met en marche vers la frontière. Notre cher empereur a quitté Petersbourg et, à ce qu’on prétend, compte luimême exposer sa précieuse existence aux chances de la guerre. Dieu veuille que le monstre corsicain, qui détruit le repos de l’Europe, soit terrassé par l’ange que le Tout-Puissant, dans le siècle oû nous vivons parmi nos vieillards de vingt ans, il a mes frères, cette guerre m’a privée d’une relation des plus chères à mon coeur. Je parle du jeune Nicolas Rostoff, qui avec son enthousiasme n’a pu supporter l’inaction et a quitté l’université pour aller s’enrôler dans l’armée. Eh bien, chère Marié, je vous avoureai que, malgré son extrême jeunesse son départ pour l’armée a été un grand chagrin pour moi. Le jeune homme, dont je vous parlais cet été, a tant de noblesse de véritable jeunesse qu’on rencontre si rarement dans le siècle où nous vivons parmi nos vieillards de vingt ans, il a surtout tant de franchise et de coeur, il est tellement pur et poétique que mes relations avec lui, quelques passagères qu’elles fussent, ont été l’une des plus douces jouissances de mon pauvre coeur, qui a déjà tant souffert. Je vous raconterai un jour nos adieux et tout ce qui s’est dit en partant. Tout cela est encore trop frais. Ah, chère amie, vous êtes heureuse de ne pas connaître ces jouissances et ces peines si poignantes. Vous êtes heureuse de ne pas connaître ces jouissances et ces peines si poignantes. Vous êtes heureuse puisque les dernières sont ordinairement les plus fortes! Je sais fort bien que le comte Nicolas est trop jeune pour pouvoir jamais devenir pour moi quelque chose de plus qu’un ami, mais cette douce amitié, ces relations si poétiques et si pures ont été un besoin, pour mon coeur. Mais n’en parlons plus. La grande nouvelle du jour qui occupe tout Moscou est la mort du vieux comte Bezoukhov et son héritage. Figurezvous que les trois princesses n’ont reçu très peu de chose le Prince Basile rien, et que c’est M. Piyer qui a tout hérité, et qui pardessus le marché a été reconnu pour fils légitime, par conséquent comte Bezoukhov et possesseur de la plus belle fortune de Russie. On prétend que le princa Basile (Vassili) a joué un très vilain rôle dans toute cette histoire et qu’il est reparti tout penaud pour Pétersbourg.

      Je vous avoue que je comprends très peu toutes ces affaires de legs et de testament; ce que je sais, c’est que, depuis que le jeune homme que nous connaissions tous sous le nom de M. Pierre tout court est devenu comte Bezoukhov et possesseur de l’une des plus grandes fortunes de la Russie, je m’amuse fort a observer les changements de ton et de manières des mamans accablées de filles à marier et des demoiselles ellesmêmes à l’égard de cet individu qui, par paranthèse m’a paru toujours être un pauvre sire. Comme on s’amuse de puis deux ans à me donner des promis que je ne connais pas le plus souvent, la chronique matrimoniale de Moscou me fait comtesse Bezoukhov. Mais vous sentez bien que je ne me soucie nullement de le devenir. A propos de mariage savezvous que tout dernièrement la tante en général! Anna Mikhailovna, m’a confié sous le sceau du plus grand secret un projet de mariage pour vous. Ce n’est ni plus ni moins que le fils du Prince Basile. Anatole, qu’on voudrait ranger en le mariant à une personne riche et distinguée. Je ne sais comment vous envisagerez la chose mais j’ai cru de mon devoir de vous en avertir.

      On le dit très beau et très mauvais sujet; c’est tout ce que j’ai pu savoir sur son compte.

      Mais assez de bavardage comme cela. Je finis mon second feuillet, et maman me fait chercher pour aller dîner chez les Apraksine. Lisez le livre mystique que je vous envoie, et qui fureur chez nous. Quoi qu’il y ait des choses dans ce livre difficiles à atteindre avec la faible conception humaine, c’est un livre admirable dont la lecture calme et élève l’âme. Adieu. Mes respects à monsieur votre père et mes compliments à Mlle Bourienne. Je vous embrasse comme je vous aime.

JULIE

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