Ses Guerriers Cyborg. Grace Goodwin
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Название: Ses Guerriers Cyborg

Автор: Grace Goodwin

Издательство: Bookwire

Жанр: Языкознание

Серия: Programme des Épouses Interstellaires- La Colonie

isbn: 9783985227600

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СКАЧАТЬ délais permanents. Mais j'étais elle et je comprenais. Nous étions identiques.

      Non ! J'étais Mikki. Pas cette femme.

      Et pourtant oui.

      On m'avait accueillie avec des baisers, des caresses, on m'avait déshabillée.

      Je l'avais laissé faire.

      Non, ce n'était pas lui qui avait fait ça. C'était quelqu’un d’autre.

      Un autre que lui avait retiré tous mes vêtements et m'avait fait asseoir aux pieds de l'autre homme.

      —Notre partenaire a besoin de calme et de détente après sa journée, dit-il.

      Il m'avait attirée contre lui afin que je me blottisse sur ses genoux, à même le sol, auprès de mon autre partenaire. À proximité, j'avais posé ma joue sur la cuisse de l'autre, comblée et apaisée. Puis, ils m'avaient entourée. Pris dans leurs bras. Me calmaient. Me caressaient.

      —Oui, elle est prête, ça se voit. Deuxième voix masculine.

      Celle dont les mains m'avaient effleurée tout en me déshabillant, tout en faisant office d’oreiller. Je frémissais d'impatience, les sachant tous deux si proches. D'impatience ?

      Il avait dit quoi, là ? Notre partenaire ? J'avais deux partenaires ?

      —Debout, ma belle. Assieds-toi sur mes genoux.

      Il me souleva facilement des cuisses de l’homme et, au lieu de m'asseoir de côté et me blottir contre lui, me retourna, je le chevauchais, dos contre sa poitrine, je ne le voyais pas. Je sentais sa chaleur, sa force me pénétrer.

      —Magnifique.

      Des mains s’approchèrent et caressèrent ma peau nue. Mes cuisses, mon ventre, mes seins, plus bas, jusqu'à ma chatte. Ses doigts glissèrent facilement dans mon sexe avide, j'étais trempée. Le plaisir déferlait sous ses caresses, j’avais le diable au corps.

      —Oui, je gémis en sentant un doigt me pénétrer, filer droit sur mon point G. Mes yeux étaient fermés, à moins que le rêve m’empêche de voir. Peu importait qu’ils soient réels ou pas. C'était trop bon pour s’en priver. Envolée la bande de guerriers bouche bée qui me gâchaient le plaisir.

      —Regarde sa chatte béante, dit l’homme qui me tenait sur l'autre, écoutait visiblement le mouvement de succion et de va-et-vient de ses doigts dans mon vagin.

      —Comme prévu.

      Le deuxième homme, celui duquel je m’étais levée, acquiesça sur le champ. Je me fichais qu'il me regarde me contorsionner nue sur les genoux d’un autre. Que la main d’un autre se retrouve entre mes cuisses grandes ouvertes.

      L'homme derrière moi me masturbait à l'aide de son doigt, impossible d’oublier le bruit humide de mon excitation. Il écarta ses genoux, ce qui eut pour effet d’écarter mes cuisses encore plus grand. Je réalisai à quel point j'étais petite—ou combien il était grand—lorsque d'un geste je glissai sur son corps. Sa bite dure et épaisse se pressait dans mon dos. Il ne fit rien, continua simplement à me besogner.

      J'étais sur le point de jouir, rien qu’avec ses mains. Un gémissement se fit entendre, cette femme savait que ce n’était pas impossible. Pourquoi étais-je d'accord ? Cela n'avait aucun sens. Je luttais, corps et âme.

      Il écarta sa main, asséna une claque humide et cuisante sur ma chatte.

      Je criai et frémis sous la brûlure torride. Mon clitoris en feu entra douloureusement en érection à son contact. Je me cambrai et poussai un gémissement alors que la brûlure de la fessée se muait en une chaleur exquise.

      Putain de merde, c'était bandant. Comment ? Je sentais tout. La fessée cuisante et sensuelle, la façon dont mon corps encaissait le choc, adorait ça. J'en avais besoin.

      —Ne pense à rien ma belle, à rien hormis mes caresses.

      Il caressa ma peau tendre avant d’introduire son doigt en moi. J'étais vachement plus humide qu'avant, sa main était couverte de ma mouille toute chaude.

      —Ton esprit ne pense à rien, il ressent uniquement. Tu es belle quand tu succombes au plaisir, avec nous pour témoins. Quand nous te donnons du plaisir.

      Oh. C'était logique. Il ne prenait rien. Il donnait. À moins que je ne veuille vraiment, vraiment plus penser à rien. Je ne faisais que penser, encore penser, toujours penser dans cette foutue cellule de prison. J'étais épuisée de combattre contre tout l’univers. D’affronter ma peur. D’affronter tout et tout le monde en même temps.

      J'arrêtai de lutter contre le désir du corps de cette femme qui laissa échapper un doux gémissement. Elle était comme moi, fatiguée de penser. Elle se savait en sécurité avec ses partenaires si elle se laissait aller. Elle le savait avec une certitude jamais connue auparavant—c'est ce que je voulais. Vraiment.

      Je sursautai en sentant ses mains sur mes cuisses écartées.

      —Chut, répondit l'autre. Il me touchait lui aussi, entre mes jambes écartées. Je sentis son souffle puis sa langue alors qu'il léchait mon désir sur ma peau. Oh merde.

      Deux à la fois ? J'allais vraiment faire ça ? Elle allait le faire ? Pas moi. N'est-ce pas ? Pas moi.

      Je n'avais jamais été caressée par deux hommes en même temps. Je n'avais jamais imaginé que j'aimerais ça. Mais putain, j’avais envie d’eux. J’aurais voulu que ça dure éternellement.

      La main qui masturbait ma chatte s'écarta, je sentis l’air frais sur ma peau échauffée.

      Quelque chose de dur s’immisça dans les replis de ma vulve, me pénétra avant de ressortir plus bas vers mon…

      —Oh !

      Un plug anal, qu’il enduisait de ma mouille. Je criai alors qu’il enfonçait l'objet dans mes fesses. Il me dilata, avant de le glisser très facilement, parfaitement lubrifié, avant que je puisse m’y opposer. On ne m’avait jamais rien mis à cet endroit, sauf dans la première partie du rêve. Pas dans la vraie vie. Je ne devrais pas aimer ça, mais maintenant... je ne voulais pas qu'il le retire. C'était trop bon. Oh mon Dieu, j'avais quelque chose dans le cul et j’adorais ça.

      Elle adorait ça. Ce corps excité au possible rêvait de ressentir la suite.

      —C’est bien ma belle, dit celui entre mes cuisses. Tu te dilates à ma perfection, nous apprécions ta réactivité. On va bientôt te baiser ensemble. Tu te languis de sentir deux sexes en toi, n'est-ce pas, ma belle ?

      —Oui, je gémis tandis qu’une langue léchait mon clitoris.

      Mes hanches se mirent à onduler de leur propre chef, l'incitant à continuer.

      Il ne me déçut pas. Impossible de décrire ce qu'il me faisait. Sa bouche, sa langue et ses doigts étaient sur moi, en moi, me poussaient à l'orgasme avec une habileté impitoyable. Une langue qui virevoltait et léchait, une bouche qui suçait et embrassait, des doigts qui baisaient et caressaient. Pendant que mon anus se faisait dilater et pénétrer.

      Je СКАЧАТЬ