Abbad., t. I, p. 223-225. Ibn-Khaldoun (Abbad., t. II. p. 209, 216) dit aussi quelques mots de ces événements, mais au lieu de nommer le cadi, il nomme son fils Motadhid.
20
Ibn-Haiyân, apud Ibn-Bassâm, t. I, fol. 81 r. et v., 82 r.
21
Abd-al-wâhid, p. 37, 38; Abbad., t. I, p. 222, l. 22.
22
Abbad., t. II, p. 127, 128.
23
Abbad., t. II, p. 34.
24
Abbad., t. I, p. 222; t. II, p. 34.
25
Abbad., t. II, p. 34.
26
Abbad., t. I, p. 222.
27
Ibn-Haiyân, apud Ibn-Bassâm, t. I, fol. 81 r. et v.
28
Abbad., t. II, p. 34.
29
Abbad., t. I, p. 222; t. II, p. 34. Sur la date, voyez la note A à la fin de ce volume.
30
Ibn-Haiyân, apud Ibn-Bassâm, t. I, fol. 81 r. -82 r.; Abd-al-wâhid, p. 38, 43; Abbad., t. II, p. 33. Comparez la note A à la fin de ce volume.
31
Abd-al-wâhid, p. 43, 45.
32
Ibn-Khaldoun, fol. 25 v.
33
Ibn-Khaldoun, fol. 22 v. Comparez la lettre que Zohair fit écrire aux Cordouans par son ministre Ibn-Abbâs, apud Ibn-Bassâm, t. I, fol. 170 r. et v.
34
Abbad., t. II, p. 34.
35
Journal asiat., IVe série, t. XVI, p. 203-205 (article de M. Munk).
36
Cronica del Moro Rasis, p. 37.
37
Ibn-Haiyân, apud Ibn-Bassâm, t. I, fol. 122 r.
38
Voyez mon Introduction à la Chronique d’Ibn-Adhârî, p. 97.
39
Ibid., p. 96, 97.
40
Journ. asiat., p. 209, dans la note.
41
Ibn-Bassâm, t. I, fol. 200 r.
42
Journ. asiat., p. 222-224.
43
Journ. asiat., p. 209.
44
Voyez mon Introduction à la Chronique d’Ibn-Adhârî, p. 96, 97.
45
Cinq millions de francs; au pouvoir actuel de l’argent, trente-cinq millions.
46
Moïse ben-Ezra (dans le Journ. asiat., p. 212, note) l’appelle Ibn-abî-Mousâ. Tel est en effet le nom que Homaidî donne au vizir Ibn-Bacanna, et c’est à tort que le copiste du man. d’Abd-al-wâhid (voyez mon édition de cet auteur, p. 43) a biffé le mot abî, qu’il avait écrit d’abord.
47
Abbad., t. II, p. 34.
48
Journ. asiat., p. 206-208.
49
Ibn-Haiyân, apud Ibn-Bassâm, t. I, fol. 171 r. -175 r.; Ibn-al-Khatîb, man. G., fol. 134 v., 135 r. (article sur Zohair), 51 v. -52 v. (article sur Abou-Djafar Ahmed ibn-Abbâs al-Ançârî); Maccarî, t. II, p. 359, 360; Abbad., t. II, p. 34.
50
Voyez Moïse ben-Ezra, cité par M. Munk dans le Journ. asiat., p. 212. Dans ce passage il faut prononcer onchida, au passif, et non anchada, à l’actif, comme l’a fait M. Munk.
51
Voyez mes Recherches, t. I, p. 245.
52
Voyez Abbad., t. I, p. 51.
53
Voyez sur Abou-’l-Fotouh Thâbit ibn-Mohammed al-Djordjânî, outre l’article d’Ibn-al-Khatîb, ceux que lui ont consacrés Soyoutî, dans son Dictionnaire biographique des grammairiens, et Homaidî. Comparez aussi l’article sur Modjéhid, dans Dhabbî (man. de la Société asiatique).
54
Ibn-al-Khatîb, man. G., fol. 114 r. et v. (article sur Abou-’l-Fotouh).
55
Abd-al-wâhid, p. 44, 65; Abbad., t. II, p. 33, 34, 207, 217. Cf. Ibn-al-Khatîb, fol. 114 v.
56
Ibn-al-Khatîb, fol. 114 v. -115 v.
57
Cette date se trouve chez Ibn-Bassâm, t. I, fol. 224 v.
58
Cet endroit n’existe plus, à ce qu’il paraît.
59
Abd-al-wâhid écrit ce nom Sacât, d’autres l’écrivent Sacout, ou, d’après la prononciation des Arabes d’Espagne, Sacôt (prononcez le t). Je crois donc que la voyelle longue dans la seconde syllabe a un son intermédiaire entre l’â et l’ô. En français on peut rendre ce son par la diphthongue au.
60
D’après Ibn-Khaldoun, il alla à Comarès, mais j’ai cru devoir suivre Homaidî.
61
Voyez Ibn-al-Khatîb, man. G., fol. 107 v. (article sur Bologguîn, fils de Bâdîs).
62
Abd-al-wâhid, p. 45-49; Ibn-Khaldoun, fol. 22 v., 23 r.; Maccarî, t. I, p. 132, 282-284.
63
Abbad., t. II, p. 48; t. I, p. 245.
64
Abbad., t. I, p. 245.
65
Abbad., t. I, p. 243.
66
Voyez Abbad., t. I, p. 243, et un poème de Motadhid, ibid., p. 53.
67
Abbad., t. I, p. 244.
68
Abbad., t. I, p. 243.
69
Abd-al-wâhid, p. 68-70.
70
Abd-al-wâhid, p. 67, 68.
71
Abbad., t. I, p. 243, 244; Abd-al-wâhid, p. 67; Ibn-Bassâm, t. I, fol. 109 r.
72
Abbad., t. II, p. 52.
73
Abbad., t. I, p. 242.
74
Abbad., t. I, p. 251; t. II, p. 60.
75
Abbad., t. II, p. 209, 216.
76
Ibn-Haiyân, apud Ibn-Bassâm, t. I, fol. 109 r. Ibn-Khaldoun (Abbad., t. II, p. 216) donne à ce prince le nom d’al-Azîz. C’est une erreur.