Название: Histoire amoureuse des Gaules; suivie des Romans historico-satiriques du XVIIe siècle, Tome III
Автор: Bussy Roger de Rabutin
Издательство: Public Domain
Жанр: Зарубежная классика
isbn:
isbn:
122
Voy. l'histoire de cette maison par M. Théophile Lavallée.
123
Nous n'avons pas à réfuter cette infamie autrement qu'en la faisant remarquer.
124
On connoît les deux rayons symboliques que la peinture et la sculpture placent sur le front de Moïse.
125
Des charges de capitaines et de majors. Le mot
126
M. Walckenaer (
127
La révocation de l'édit de Nantes n'est point, en effet, un acte isolé, mais le couronnement d'une série de mesures que l'on voit se succéder d'année en année, avec des rigueurs de plus en plus arbitraires, et dont l'acte de révocation n'est guère que le résumé. Ajoutons que la date des premiers édits est de beaucoup antérieure à l'époque où madame de Maintenon commença à exercer son influence sur le monarque.
128
Entre autres documents intéressants sur la question des réfugiés protestants, nous signalerons, sans parler des histoires spéciales des réfugiés, les nombreuses pièces insérées dans les divers volumes du
129
Le conseil de conscience examinoit et traitoit toutes les affaires qui, avant qu'il fût créé, étoient portées devant le secrétaire d'Etat pour les affaires ecclésiastiques ou le confesseur du Roi.
130
Voy. ci-dessus, p. 137.
131
Voy. ci-dessus, p. 138.
132
Les honneurs changent les mœurs.
133
134
La princesse de Conti, Marie-Anne de Bourbon, étoit la fille légitimée de Louis XIV et de mademoiselle de La Vallière. Née en octobre 1666 (voy. t. 2, p. 46), elle épousa, en 1680, Louis-Armand de Bourbon, prince de Conti, fils d'Armand, prince de Conti, et d'Anne-Marie Martinozzi. Madame de Conti perdit son mari le 9 novembre 1685. Celui-ci étoit mort en disgrâce, et madame de Conti elle-même étoit mal vue de Louis XIV, à cause, dit Dangeau, d'une lettre qu'elle avoit écrite en l'absence de son mari (
135
Il s'agit ici du fils de Louis XIV et de Marie-Thérèse; le fils de ce premier dauphin porta ensuite le même titre. Sur ce titre de
136
Le passage compris entre crochets, nécessaire au sens, manque dans l'édition de 1754.
137
Madame de Maintenon avoit alors cinquante ans, et non soixante.
138
Voy. ci-dessus la note 127 de la page 157. Une Revue qui n'est pas suspecte d'être partiale en faveur de madame de Maintenon, le
139
Ce mot
140
On dit encore un
141
Les huguenots et les catholiques vivant alors dans une parfaite égalité, et, en ce qui touche les gens de lettres, étant également admis à l'Académie françoise, toute fondée qu'elle avoit été par un cardinal, y a-t-il donc lieu d'être surpris que Scarron fût visité par des protestants? Entre ses amis, Conrart, protestant zélé, comptoit Godeau, l'évêque de Grasse, et Arnault, évêque d'Angers, ce dernier d'une famille où l'on n'est pas suspect de relâchement et de tiédeur en matière de foi.
142
On ne trouve nulle trace ailleurs de ces sortes de calomnies.
143
Les parfums de Montpellier avoient alors la vogue. Dans le Traité des parfums publié en 1693 par Simon Barbe (1 vol. in-12), sous ce titre: «Le Parfumeur françois, qui enseigne toutes les manières de tirer les odeurs des fleurs et à faire toutes sortes de parfums», on trouve, p. 11, «la manière de parfumer la poudre de cypre comme à Montpellier», et, p. 85, la recette pour les «toilettes de senteur de Montpellier.»
144
Nous avons cité plus haut, p. 58, une lettre où Louis XIV défend de faire des recherches qui auroient pu confirmer les bruits, déjà répandus, au sujet de la mort de mademoiselle de Fontanges.