Название: Le Secret De L'Esprit Et Du Corps
Автор: Gianluca Pistore
Издательство: Tektime S.r.l.s.
Жанр: Спорт, фитнес
isbn: 9788873043041
isbn:
Prologue
Ce manifeste qui était en train dâobséder Carlos il ya quelques mois était affichéà une vitrine brillante dâune salle de gym de Rio: "Premier prix 80 mille dollars."
Celui qui été habituéà vivre à la journée, avec peu moins de 200 dollars par mois, pouvait seulement rêver ce montant. Et Dieu seul sait à combien pauvres de la faveladeRocinha faisait enviece montant dâargent.
Rocinha est un cartier de la Zone Sud de la ville de Rio de Janeiro, au Brésil.
Il est une des 700 favelas qui font partie de la ville de Rio. Câest la favela la plus grande du monde et compte plus de 150 mille habitants officiels.
Comme il se passe de souvent dans les quartiers pauvres, elle est la proiede luttes entre les gangsdiversesde trafiquants, lesAmigos dos Amigoset lesComando Vermelho, pour prendre le contrôle de la favela.
Câétait là que Carlos était né et grandi, toujours entre la vie et la mort.
Et ce montant pouvait changer sa vie.
Carlos nâavait jamais vu cet argent ensemble et il en avait justement besoin.
Câétait le montant qui lui était nécessaire pour faire une croix sur son passé.
Il y avait pensé constamment, jour et nuit.
A la fin il avait décidé de sâadresserà lui, lâhomme légendaire, celui dont tous en connaissaient les actions et que personne nâosait pas contredire.
1
Je me le souviens ce lundi dâavril. Ici à Rio faisait chaud, très chaud. Câétait la journée typique de printemps, où les personnes étaient plus propices à rester allongésà la plage plutôt quâà travailler dans un bureau avec lâair conditionné. Et je me souviens même de ce coup de fil à mon cartier général, ma "Tanière des Guerriers", une place de retrouve pour tous les amants du fer, pour tous ceux passionnésvieille école. "Allô, câest Himenes, George Himenes à lâappareil? Le propriétaire de la salle de gymMuscles et Esprit?" Dit une voix faible de lâautre côté du téléphone.
"Oui." Je répondais tout de suite "Qui est à lâappareil celui avec lequel jâai le plaisir de parler?"
"Je suis Santana, Carlos Santana. Jâaurais un besoin urgent de parler avec vous. Quand puis-je vous rencontrer?"
"Beh, si vous nâavez rien de mieux à faire vous pouvez venir me rencontrer même maintenant. Les guerriers du fer ne se reposent jamais!" je disais avec véhémence.
Câétait comme ça que je connaissais ce garçon bizarre venu des favelas.
Il pesait environ 60 kg trempé ou pour un hauteur dâun mètre et quatre-vingt-cinq.
Il était le classique ectomorphe pur. Mince, au squelette gracile e avec une musculation sous développée. Il avait les épaules étroites et un torse long et plat. Son poids et le périmètre de la poitrine semblaient être très insuffisants par rapport à la hauteur. En outre les membres inférieurs et supérieurs avaient la même longueur.
Il semblait sous-alimenté et apeuré par la vie.
"Donc, cher Carlos, comment puis-je tâaider?"
"Ils mâont dit que vous êtes capable de réaliser miracles avec les personnes..."
Je mâarrêtais tout de suite "Garçon, fais-toi attention avec les mots. Dieux fait les miracles. Jâaide simplement à faire sortir le papillon de sonver. Michel-Ange sculptait la pierre pour ses Åuvres, mais les chefs-dâÅuvre étaient déjà à lâintérieur de la pierre brute. Il arrondit seulement les coins. Voilà , câest ce que je fais."
Le garçon, hésitant, me regarda avec les yeux écarquillés et il ajouta "Je me fiche de cela! Je dois absolument vaincre la âCompétition Internationale Des Deux Amériquesâ
"Arrête garçon, une chose après lâautre. Je viens de te dire que je ne fais pas de miracles, tu veux vaincre la compétition des haltères américaine la plus importante dans moins dâune année et en commençant sans aucune formation de base ?" Quel type exhilarant. Peut-être quâil ne sâétait jamais vu dans le miroir, je ne lui aurai néanmoins permis de sâinscrire au tournoide bras de fer du cartier.
"Vous ne comprenez pas. Jâen ai besoin. Voulez-vous mâaider ou non?" il sâempressait de dire, une rage dans les yeux que je nâavais jamais vue dâabord.
Le premier instant de confusion sâévanouit peu après: âGarçon, tu nâ arriverais jamais, laisse tomber. Si tu veux faire du sport je peux tâaider mais enlève de ta tête ces galères stupides â.
Il me regarda avec les larmes aux yeux: âvous êtes un bon à rien! Vous ne savez rien de sport! Vous vous limitez à regarder comme je suis maintenant, vous ne réussissez à mâimaginer fort et vous ne réussissez néanmoins à voir,au-delà de ce mon corps,la rage, la motivationet la douleur qui sont dans mon intérieur....â Il faisait le signe pour dire quelque chose dâautre, mais il se tourna et il se démarraitavec un pas décidévers la sortie.
Je lâappelais âGarçon! Attends un moment. Quelle serait ce grande motivation? Donc, à quoi bon de vaincre la compétition des haltères américaine la plus importante, veux-tu par pur hasarddémontrer quelque chose à ta fiancée?â
"Il ne mâimporte rien de vaincre. Jâai besoin du prix de 80 mille dollars en jeu pour sauver mon frère le plus petit de la rue! Mon frère et moi nous sommes nées dans une famille extrêmement pauvre, de même que beaucoup de personnes dans les favelas de Rio. Dans notre favela il y a incursions dela police, le bataillons de la mort, presque tous les saints jours. Je cherche à garder mon frère le plus petit loin des regards de la bande, mais il est difficile. Notre père est mort dans une rafle de la police, tué par un coup vagant direct à un narcotrafiquant qui vivait cinquante mètres après nous. Notre mère, après sa mort, est tombée dans un état de grave dépression et elle avait de la peine à maintenir toute la famille.Les missionnaires de Saint François nous aident, mais ce nâ0est pas bon. Je cherche à arrondir en travaillant avec un menuiser ami de mon père, mais le salaire ne me permet néanmoins de mâinscrire à la salle de gym! Mon frère il y a peu de mois qui fait partie dâune bande de dealers contrôlés par Ramires, un de plus grands et impitoyables narcotrafiquantsde notrefavela." Tandis quâil parlait les yeux lui devenaient brillants, transparents, et je comprenais ce que son cÅur éprouvait. La sienne était lâincarnation dâune tristesse dâune histoire pareille à beaucoup dâautres. Les poignets de plus en plus serrés sur ses jambes "Je cherche à lui expliquer quâen continuant СКАЧАТЬ