Название: Jacques le fataliste et son maître
Автор: Dénis Diderot
Издательство: Public Domain
Жанр: Зарубежная классика
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L'accusation de plagiat n'a pas été ménagée à Sterne, en Angleterre. On a noté tous les passages qu'il avait empruntés, bien plus pour s'en moquer que pour se les approprier, il est vrai, mais qu'il a eu le tort, par excès d'
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«Le roi Guillaume, sauf votre respect, dit Trim, était d'avis que notre destinée ici-bas était arrêtée d'avance; tellement qu'il disait souvent à ses soldats que «chaque balle avait son billet.» (Sterne,
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«Et puis, dit le caporal, reprenant la parole, – mais d'un ton plus gai, – sans ce coup de feu je n'aurais jamais été amoureux, sauf votre respect. – Tu as donc été amoureux, Trim? dit mon oncle Toby en souriant.» (Sterne,
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«… Si bien que ce n'est que le lendemain, à midi, continua le caporal, que je fus échangé et mis dans une charrette avec treize ou quatorze autres, pour être transporté à notre hôpital. – Il n'y a pas de partie dans tout le corps, sauf votre respect, où une blessure cause une torture plus intolérable qu'au genou.
« – Excepté à l'aine, dit mon oncle Toby. – Sauf votre respect, repartit le caporal, le genou, à mon avis, doit certainement être plus douloureux à cause de tous les tendons et de tous les je ne sais quoi qui s'y trouvent.» (Sterne.
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«Je racontais mes souffrances à une jeune femme, dans une maison de paysan où notre charrette, qui était la dernière de la file, avait fait halte; on m'y avait fait entrer, et la jeune femme avait tiré de sa poche un cordial et en avait versé sur du sucre, et, voyant qu'il m'avait ranimé, elle m'en avait donné une seconde et une troisième fois. – Je lui racontais donc, sauf votre respect, le supplice où j'étais, et je lui disais qu'il était si intolérable, que j'aimerais mieux m'étendre sur ce lit, – en en désignant un qui était dans le coin de la chambre, et mourir, – que d'aller plus loin. Elle essaya de m'y conduire, mais je m'évanouis dans ses bras.» (Sterne,
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«Lors donc que je revins à moi, je me trouvai dans une cabane silencieuse et tranquille, où il n'y avait que la jeune femme, le paysan et sa femme. J'étais couché en travers du lit, dans le coin de la chambre, ma jambe blessée sur une chaise, et la jeune femme à côté de moi, d'une main me tenant sous le nez le coin d'un mouchoir trempé dans du vinaigre, et de l'autre me frottant les tempes.» (Sterne,
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On lit dans toutes les éditions:
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Dufouart (Pierre), célèbre chirurgien, mort à Sceaux le 21 octobre 1813, à l'âge de soixante-dix-huit ans. On a de lui:
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Louis (Antoine), chirurgien, secrétaire de l'Académie de Paris, né à Metz le 13 février 1723, mort à Paris en 1792. C'est lui qui fut chargé de la partie chirurgicale de l'
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Ce n'est point l'Harpagon de
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Nous rétablissons
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Variante: «Qu'il vous convienne.»
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Variante: «Possibles ou non possibles.»
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Ce nom est emprunté de l'hôtel Jaback, situé à Paris, rue Saint-Merri. On y vendit pendant quelque temps des bijoux et des nouveautés en tous genres. La mode voulait alors qu'on n'achetât que de
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Le Roi (Julien), fameux horloger, né à Tours en 1686, mort à Paris le 20 septembre 1759, laissa quatre fils qui tous ont acquis quelque célébrité dans les sciences et dans les arts. (Br.)
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Variante: «N'y était plus.»
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Variante: «Vers la fenêtre.»
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V.
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«… Mediocribus esse poetis,
Non homines, non Di, non concessere columnæ.»
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Avellaneda (Alonzo-Fernandez d') fit imprimer en 1614, à Tarragone, une suite de
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Forti-Guerra ou Forte-Guerri, né à Pistoie en 1674, mort le 17 février 1735, fit en très-peu de temps son poëme de
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Prémontval (Pierre Le Guay de), fils d'un vieux commissaire de quartier de Paris, naquit à Charenton en 1716. Il enseignait les mathématiques vers 1740. Après qu'il eut enlevé Mlle Pigeon, il passa en Suisse, puis à Berlin, y vécut pauvrement, quoique membre de l'Académie, et y mourut en 1764. À Paris, il faisait des conférences. Il est assez gai de voir Crébillon fils, comme censeur, donner son approbation au
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Pigeon (Marie-Anne-Victoire), femme de Prémontval, née à Paris en 1724, mourut à Berlin en 1767, peu de temps après son mari. Elle était lectrice de la princesse Henri de Prusse. Elle a publié en 1750: