Comment on construit une maison. Eugene-Emmanuel Viollet-le-Duc
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      1

      Échelle de proportion. Le texte explique suffisamment l’emploi de l’échelle dans le tracé architectonique, pour qu’il ne soit pas nécessaire de s’étendre sur l’utilité de ce moyen pratique. On entend aussi par échelle, les proportions relatives d’un édifice. Certains membres de l’architecture donnent l’échelle de l’ensemble. Ainsi, une balustrade ne pourrait dépasser la hauteur d’appui ou lui être inférieure; elle donne alors l’échelle de la bâtisse, c’est-à-dire qu’elle indique la dimension réelle de l’ensemble, en prenant pour point de comparaison la hauteur de l’homme.

      2

      Élévation. On désigne par ce mot, en architecture, le géométral d’une façade; en terme propre, la projection verticale.

      3

      Mur. On dit: mur goutterot, pour désigner celui qui porte un chéneau et reçoit la chute d’un comble; mur pignon, pour désigner celui qui clôt la charpente d’un comble; mur de refend, pour désigner celui qui, à l’intérieur d’un bâtiment, sépare les pièces, reçoit la portée des planchers et les tuyaux de cheminée.

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      Solive. Pièce de bois posée horizontalement pour former plancher et recevoir l’aire sur laquelle on pose les carrelages ou les parquets. Les solives de bois ne sauraient avoir, sans fléchir, une portée de plus de cinq mètres. Leur équarrissage et leur espacement sont déterminés par leur portée et la charge qu’elles doivent subir.

      5

      Noyau. Pile ou colonne autour de laquelle gironnent les marches de l’escalier.

      6

      Giron. Est la largeur d’une marche d’escalier. Giron droit. S’entend pour une marche d’égale largeur dans sa longueur. Giron triangulaire désigne une marche étroite au collet et s’élargissant du côté du mur de cage. On dit: les marches d’un escalier ont peu de giron, quand leur pas est court; ont beaucoup de giron, quand leur pas est long (voyez Pas).

      7

      A, vestibule; B, salon: C, salle à manger; D, salle de billard; E, cabinet de Monsieur; F, descente-serre; G, office; H, cuisine; I, desserte; K, L, fournil, laverie; M, cour de service; N, S, basse-cour; 0, écurie; P, remise; R, sellerie; a, escalier de service; b, descente aux caves; c, escalier des palefreniers; V, W, water-closets.

      8

      Bretêche. Ce mot désignait originairement un ouvrage de bois crénelé, dont on se servait pour attaquer et défendre les places fortes; mais, vers le quatorzième siècle, on désignait ainsi un balcon en encorbellement, fermé et couvert, une loge ayant des vues latérales, de face et formant saillie sur une façade. Le window si fréquemment adopté dans les habitations anglaises est une véritable bretêche.

      9

      A, antichambre; B, chambre de Madame; G, cabinet de toilette et bains; D, garde-robe; E, chambre de Monsieur; F, cabinet de toilette et bains; G, chambre; H, cabinet de toilette; I, lingerie; P, débarras; W, water-closets.

      10

      Cage d’escalier. Est l’enveloppe en maçonnerie ou en charpente dans laquelle gironnent les marches d’un escalier.

      11

      Bresis. On dit un comble en bresis ou avec bresis, pour indiquer qu’il se compose de deux plans, dont l’un est peu incliné et l’autre forme un angle plus fermé. L’arête horizontale de jonction des deux plans est désignée par le mot membron. On ouvre habituellement les lucarnes ou mansardes dans la hauteur du bresis.

      12

      Arêtier. Angle saillant formé par la réunion de deux pans de comble.

      13

      Pignon. Partie terminale d’un mur qui masque la charpente du comble et en suit les pentes.

      14

      Tableau. Partie du jambage d’une porte ou d’une fenêtre qui reste en dehors de la fermeture.

      15

      Souche de cheminée. Est la partie du conduit de fumée en maçonnerie qui dépasse

1

Échelle de proportion. Le texte explique suffisamment l’emploi de l’échelle dans le tracé architectonique, pour qu’il ne soit pas nécessaire de s’étendre sur l’utilité de ce moyen pratique. On entend aussi par échelle, les proportions relatives d’un édifice. Certains membres de l’architecture donnent l’échelle de l’ensemble. Ainsi, une balustrade ne pourrait dépasser la hauteur d’appui ou lui être inférieure; elle donne alors l’échelle de la bâtisse, c’est-à-dire qu’elle indique la dimension réelle de l’ensemble, en prenant pour point de comparaison la hauteur de l’homme.

2

Élévation. On désigne par ce mot, en architecture, le géométral d’une façade; en terme propre, la projection verticale.

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Mur. On dit: mur goutterot, pour désigner celui qui porte un chéneau et reçoit la chute d’un comble; mur pignon, pour désigner celui qui clôt la charpente d’un comble; mur de refend, pour désigner celui qui, à l’intérieur d’un bâtiment, sépare les pièces, reçoit la portée des planchers et les tuyaux de cheminée.

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Solive. Pièce de bois posée horizontalement pour former plancher et recevoir l’aire sur laquelle on pose les carrelages ou les parquets. Les solives de bois ne sauraient avoir, sans fléchir, une portée de plus de cinq mètres. Leur équarrissage et leur espacement sont déterminés par leur portée et la charge qu’elles doivent subir.

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Noyau. СКАЧАТЬ