Chronique de 1831 à 1862, Tome 2 (de 4). Dorothée Dino
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Название: Chronique de 1831 à 1862, Tome 2 (de 4)

Автор: Dorothée Dino

Издательство: Public Domain

Жанр: Зарубежная классика

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СКАЧАТЬ baronne de Mengden, nièce de la princesse de Lieven, vécut plus tard à Carlsruhe où elle était abbesse d'un chapitre noble. Elle était fort grande, surtout de buste, ce qui obligeait le convive appelé à s'asseoir aux repas à côté d'elle à relever avec effort la tête, pour apercevoir la sienne. Très bonne personne, elle était un peu le souffre-douleur de sa tante, et, à Valençay, lors des séjours qu'y fit la princesse de Lieven, celle-ci lui confiait la garde de son coffre à bijoux durant la promenade, de sorte que la baronne de Mengden n'y pouvait prendre part que fort rarement.

34

Ambassadeur de France à Saint-Pétersbourg.

35

Dans la soirée du 25 juin 1836, un jeune homme de vingt-six ans, nommé Louis Alibaud, avait tiré sur le Roi dans la cour des Tuileries, au moment où Louis-Philippe passait devant la Garde nationale et pendant que les tambours battaient aux champs.

36

Ambassadeur d'Angleterre à Constantinople.

37

Le Reis-Effendi est le ministre des Affaires étrangères en Turquie.

38

La veuve de Napoléon Ier.

39

Sieyès était mort à Paris, le 20 juin 1836.

40

Le générai Fagel avait été ambassadeur du Roi des Pays-Bas en France, sous la Restauration.

41

M. Decazes remplissait alors les fonctions de grand référendaire à la Chambre des Pairs.

42

A la suite d'une violente polémique dans les journaux, une rencontre devint inévitable entre Armand Carrel, directeur du National, et Émile de Girardin, directeur de la Presse. Un duel au pistolet eut lieu le 28 juillet, au bois de Vincennes, entre les deux journalistes. Grièvement blessé à l'abdomen, Armand Carrel succomba le lendemain, après avoir nettement manifesté sa volonté d'être transporté directement au cimetière, sans passer par l'église.

43

Au mois de juin 1836, un incendie, attribué à l'imprudence d'ouvriers plombiers, détruisit complètement les charpentes de châtaignier de la cathédrale, qui faisaient l'admiration des visiteurs et auxquelles on donnait le nom de forêt. Un grand nombre de vitraux anciens furent brisés ou fondus, les clochers sérieusement endommagés. Pendant plusieurs heures, le feu menaça de se propager dans toute la basse ville. Les réparations, fort importantes, durèrent de longues années.

44

Le comte Paul de Périgord.

45

M. Thiers.

46

L'institution de la célèbre Mme Campan, aujourd'hui école d'Écouen.

47

D'être calme.

48

Ambassadeur de France en Espagne.

49

Cette propriété était le Val-Richer, où M. Guizot habita jusqu'à sa mort.

50

Voici la composition du ministère: M. Molé, président du Conseil et ministre des Affaires étrangères; M. Guizot, ministre de l'Instruction publique; M. Persil, ministre de la Justice; M. Duchâtel, ministre des Finances; M. de Gasparin, ministre de l'Intérieur, avec M. de Rémusat comme sous-secrétaire d'État; M. Martin du Nord, ministre du Commerce et des Travaux publics; le général Bernard, ministre de la Guerre; l'amiral Rosamel, ministre de la Marine.

51

Voir plus haut Montessuy page 87.

52

Saint Maurice était le patron du prince de Talleyrand.

53

Cette notice sur Valençay fut imprimée plus tard, en 1848, chez Crapelet, rue de Vaugirard, à Paris, avec la même dédicace dont parle ici l'auteur de la chronique. – Ce curieux opuscule est cité par LAROUSSE, dans son grand Dictionnaire universel du dix-neuvième siècle, à l'article «Valençay». – Il est devenu rare, mais il en reste encore plusieurs exemplaires.

54

L'obélisque de Luxor fut donné au Roi Louis-Philippe par le pacha d'Égypte, Méhémet-Ali. – Il fut enlevé de devant le temple de Luxor, transporté à Paris, et placé, en 1836, sur la place de la Concorde.

55

Chez la comtesse Camille de Sainte-Aldegonde.

56

Le 26 octobre 1836, le prince Louis Bonaparte, accompagné de son ami, M. de Persigny, et avec le concours du colonel Vaudrey, essaya de provoquer un mouvement militaire et de renverser le Roi Louis-Philippe.

57

Futur Napoléon III.

58

Charles X venait de mourir, à Goritz, en Autriche, le 6 novembre 1836.

59

La Reine de Portugal avait été forcée, après des émeutes, d'accepter la Constitution radicale de 1820. – Elle fit, en novembre, aidée de Palmella, Terceira et Saldanha, une contre-révolution, croyant, à l'instigation de l'Angleterre, que le peuple de Lisbonne la soutiendrait, et proposa de renvoyer ses Ministres: elle avait été mal renseignée sur le sentiment populaire et fut forcée d'abandonner la lutte.

60

M. de Polignac, prisonnier à Ham, avait réclamé de M. Molé sa translation dans une maison de santé.

61

Sa peine avait été commuée en un bannissement perpétuel.

62

Voici la composition de ce Ministère: MM, Molé, président du Conseil et ministre des Affaires étrangères; Barthe, ministre de la Justice; de Montalivet, ministre de l'Intérieur; Lacave-Laplagne, ministre des Finances; de Salvandy, ministre de l'Instruction publique; le général Bernard, l'amiral de Rasamel et M. Martin du Nord gardaient leurs portefeuilles. M. de Rémusat, sous-secrétaire d'État, suivait son ministre dans sa retraite.

63

Marianne-Léopoldine, archiduchesse d'Autriche-Este, née en 1771, avait épousé l'électeur Charles-Théodore de Bavière. Après la mort de son mari, elle épousa le grand-maître de sa Cour, le comte Louis Arco. Cette princesse mourut en 1848.

64

Le 27 décembre 1837, jour de l'ouverture de la session parlementaire, un nouvel attentat avait été commis contre le Roi Louis-Philippe, qui se rendait en voiture, avec trois de ses fils, au Palais-Bourbon. L'auteur du crime était Meunier, un jeune homme de vingt-deux ans. Il fut condamné à mort par la Chambre des Pairs, mais le Roi obtint, en effet, que sa peine fût commuée en bannissement perpétuel, à l'occasion du mariage de M. le duc d'Orléans.

65

Fête du Roi Louis-Philippe.

66

Cette ambassade d'honneur était envoyée au-devant de la royale fiancée; elle la rencontra à Fulda, le 22 mai 1837.

67

Il s'agissait d'une loi de crédit pour les dépenses secrètes de la police.

68

Le comte de Lezay-Marnesia.

69

Égale de naissance.

70

La comtesse de Lobau.

71

A l'occasion du mariage du duc d'Orléans, une amnistie fut accordée, par ordonnance du 8 mai, à tous les individus détenus pour crimes ou délits politiques.

72

Mlle Sidonie de Dieskau, dont il sera parlé plus loin, pendant le voyage en Allemagne de la duchesse de Talleyrand.

73

Le baron de Werther était, depuis 1824, ministre de Prusse à Paris.

74

Le comte Lehon était ministre de Belgique.

75

Mgr Gallard.

76

S. E. Mohamed-Nouri-Effendi.

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