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nada que documente ou explique a existencia de uma tempestade, e portanto esta hypothese não tem fundamento algum, e até está banida pelos principaes e mais profundos historiadores e notaveis hydrographos. —Corografia Brazilica do padre Cazal.Roteiro do Brazil de M. Ernest Mouchez, nota (a), pag. 115.
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«… senor ayer segunda feria que fueron 27 de Abril descendymos en terra yo e el pyloto do capitan moor e el pyloto de Sancho de tovar e tomamos el altura del sol al medyodya e fallamos 56 grados e la sontra era septentrional per lo qual segund las reglas del estrolabio jusgamos ser afastados de la equinocial por 17 grados e per consyguiente tener el altura del polo antartico en 17 grados segund que es magnifiesto en el espera e esto es quanto alo uno por lo qual sabra vosa alteza que todos los pylotos van adyante de mi en tanto que pero escolar va adyante 150 leguas e otros mas e outros menos pero quien dyse la verdad non se puede certyficar fasta que en boa ora allegemos al cabo de boa esperança e ally sabremos quien va mas cierto ellos con la carta o yo con la carta e el estrolabio…» – Carta de mestre Johan, 1 de maio de 1500. Arch. Nac. da Torre do Tombo, Corpo Chron., parte 3.ª, maço 2, doc. n.º 2.
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Courant général au large. Il existe à 40 ou 50 lieues, au large de la côte du Brésil, un courant général descendant parallèlement à cette côte du N.N.E. au S.S.O., et qui n'est que la branche Sud du grand courant équatorial se bifurquant sur le cap Saint-Roque. Ce courant a une vitesse moyenne de 10 à 15 milles par 24 heures; il perd de sa force en avançant vers le S., et varie d'ailleurs selon les saisons et la force du vent. Il n'est plus guère sensible au delà du tropique. Ce courant, combiné avec la dérive produite par les vents alizés du S.E., se modifie souvent et porte vers la côte au S.O. et à l'O.S.O.» —Les côtes du Brésil (já citado), pag. 11. Veja-se tambem a Chart of the World on Mercators projection, constructed by Hermann Berghaus and Fr. v. Stülpnagel. Gotha: Justus Perthes.
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«Courants près de terre. Entre le courant dont nous venons de parler et la côte, le mouvement des eaux est entièrement soumis aux vents régnants dès que la brise souffle 24 heures de la même direction, soit du N.E. ou du S.O. Le courant s'établit en conséquence et proportionnellement à la force des vents; aussi pendant la saison des vents de N.E., surtout d'octobre à janvier, les courants portent au S.O. avec une vitesse qui peut atteindre 25 à 30 milles par 24 heures. C'est surtout près des points saillants, tels que les caps Saint-Augustin, le Rio Doce, les caps Saint-Thomé et Frio, que la vitesse est la plus grande. Les navires qui atterrissent dans cette saison à Pernambouc et Bahia doivent compter sur une différence d'au moins 1 mille par heure et manœuvrer en conséquence; beaucoup de navires sont portés de 36 à 40 milles au S.O. dans les 24 heures. Mais, nous le répétons, ces courants cessent avec la cause qui les produit et sont loin d'opposer à la navigation un obstacle semblable à celui que l'on rencontre le long de la côte ferme, quand on veut remonter à contre-courant et contre-mousson de Sainte-Marthe à Curaçao ou à la Guayra. A l'exception des trois ou quatre mois d'été, novembre, décembre et janvier, où les vents de N.E. sont dans toute leur force, ces courants sont assez faibles et très-variables. Pendant la mousson de S.O., ils portent au N., et sont également faibles et variables; c'est en juin et juillet qu'ils acquièrent la plus grande force». —Les côtes du Brésil (já citado), pag. 12.
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A expedição compunha-se ao largar de Lisboa de tres naus e dez caravellas. «Caravelle: Le navire de ce nom, qui eut une véritable célébrité aux XVe et XVIe siècles; le navire dont se servirent les Portugais pour leur voyages de découvertes, et Christophe Colomb pour sont aventureuse navigation à l'ouest, était un petit bâtiment de la famille des vaisseaux ronds, mais plus fin de forme que les nefs ses contemporaines, et ayant des façons plus pincés. Ainsi était-il plus rapide, meilleur manœuvrier, et plus propre à toutes les expéditions qui demandait de la célérité dans la marche et une grande rapidité dans les évolutions».==Glossaire Nautique par A. Jal, Paris MDCCCXLVIII, pag. 419.
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Vaz de Camina, qui donne beaucoup de détails sur ce voyage, n'indique nulle part ce motif (éviter les calmes de la côte d'Afrique) comme cause de la déviation dans l'O. de la route de Cabral, et nulle par non plus on ne lui voit invoquer le motif d'une tempête par 15° ou 16° de latitude pour expliquer ce grand écart de route et la découverte de la terre. Dès qu'on s'avance au S. de l'équateur, les alizés adonnent continuellement, et si l'on peut doubler la partie la plus orientale du continent, un peut au S. du cap Saint-Roque, l'on ne peut que s'éloigner de plus en plus de la côte quand on cherche à doubler le cap de Bonne-Espérance, puisque, d'un côté, les vents permettent de faire plus d'E., et que, de l'autre, la côte s'éloigne vers l'Ouest. Il est donc à peu près impossible de donner un autre motif plausible de l'arrivée de Cabral en vue de terre par 16° de latitude qu'une erreur de route commise par ce navigateur. —Les côtes du Brésil (já citado), nota a, pag. 115
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Veja-se: Vida do Infante D. Henrique de Portugal, por Richard Henry Major; Roteiro da Viagem de Vasco da Gama, por A. Herculano e o Barão do Castello de Paiva; e as chronicas escriptas pelos historiadores portuguezes do seculo XVI.
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Ensaio de um mappa das linhas de egual declinação (linhas isogonicas) no seculo XVI, Roteiro de Lisboa a Goa por D. João de Castro, annotado por João de Andrade Corvo, 1882, est. XIII.
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Ensaio de um mappa das linhas de egual declinação no seculo XVI, (já citado). Carta de Pero Vaz Caminha. Historia da Provincia de Santa Cruz por Gandavo (tambem já citadas). Por estes ultimos documentos sabe-se que a expedição passou entre as Canarias e depois entre as Ilhas de Cabo Verde.