History of Civilization in England, Vol. 2 of 3. Henry Buckley
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Название: History of Civilization in England, Vol. 2 of 3

Автор: Henry Buckley

Издательство: Public Domain

Жанр: Зарубежная классика

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isbn: http://www.gutenberg.org/ebooks/44494

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СКАЧАТЬ fois.’ In this she failed; but, determined not to be baffled, ‘elle ne se rebute point, et voulant à toute force avoir un tabouret, elle épouse le fils aîné du duc de Villars: c'est un ridicule de corps et d'esprit, car il est bossu et quasi imbécile, et gueux par-dessus cela.’ This melancholy event happened in 1649.

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As to the Countess de Fleix and Madame de Pons, see Mém. de Motteville, vol. iii. pp. 116, 369. According to the same high authority (vol. iii. p. 367), the inferiority of the Princess de Marsillac consisted in the painful fact, that her husband was merely the son of a duke, and the duke himself was still alive ‘il n'étoit que gentilhomme, et son père le duc de la Rochefoucauld n'étoit pas mort.’

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The long account of these proceedings in Mém. de Motteville, vol. iii. pp. 367–393, shows the importance attached to them by contemporary opinion.

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In October 1649, ‘la noblesse s'assembla à Paris sur le fait des tabourets,’ Mém. de Lenet, vol. i. p. 184.

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‘Tous ceux donc qui par leurs aïeux avoient dans leurs maisons de la grandeur, par des alliances des femmes descendues de ceux qui étoient autrefois maîtres et souverains des provinces de France, demandèrent la même prérogative que celle qui venoit d'être accordée au sang de Foix.’ Mém. de Motteville, vol. iii. p. 117. Another contemporary says: ‘Cette prétention émut toutes les maisons de la cour sur cette différence et inégalité.’ Mém. d'Omer Talon, vol. iii. p. 6; and vol. ii. p. 437: ‘le marquis de Noirmoutier et celui de Vitry demandoient le tabouret pour leurs femmes.’

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Indeed, at one moment, it was determined that a counter-demonstration should be made on the part of the inferior nobles; a proceeding which, if adopted, must have caused civil war: ‘Nous résolûmes une contre-assemblée de noblesse pour soutenir le tabouret de la maison de Rohan.’ De Retz, Mémoires, vol. i. p. 284.

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Mém. de Motteville, vol. iii. p. 389.

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‘Signé d'elle et des quatre secrétaires d'état.’ Ibid. vol. iii. p. 391.

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The best accounts of this great struggle will be found in the Memoirs of Madame de Motteville, and in those of Omer Talon; two writers of very different minds, but both of them deeply impressed with the magnitude of the contest.

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Saint-Aulaire (Hist. de la Fronde, vol. i. p. 317) says, that in this same year (1649), ‘l'esprit de discussion fermentait dans toutes les têtes, et chacun à cette époque soumettait les actes de l'autorité à un examen raisonné.’ Thus, too, in Mém. de Montglat, under 1649, ‘on ne parlait publiquement dans Paris que de république et de liberté,‘**RSQUvol. ii. p. 186. In 1648, ‘effusa est contemptio super principes.’ Mém. d'Omer Talon, vol. ii. p. 271.]

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That the failure of the Fronde is not to be ascribed to the inconstancy of the people, is admitted by De Retz, by far the ablest observer of his time: ‘Vous vous étonnerez peut-être de ce que je dis plus sûr, à cause de l'instabilité du peuple: mais il faut avouer que celui de Paris se fixe plus aisément qu'aucun autre; et M. de Villeroi, qui a été le plus habile homme de son siècle, et qui en a parfaitement connu le naturel dans tout le cours de la ligue, où il le gouverna sous M. du Maine, a été de ce sentiment. Ce que j'en éprouvois moi-même me le persuadoit.’ Mém. de Retz, vol. i. p. 348; a remarkable passage, and forming a striking contrast to the declamation of those ignorant writers who are always reproaching the people with their fickleness.

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This knotty point was decided in favour of the Duke of York, to whom, in 1649, ‘la reine fit de grands honneurs, et lui donna une chaise à bras.’ Mém. de Motteville, vol. iii. p. 275. In the chamber of the king, the matter seems to have been differently arranged; for Omer Talon (Mém. vol. ii. p. 332) tells us that ‘le duc d'Orléans n'avoit point de fauteuil, mais un simple siège pliant, à cause que nous étions dans la chambre du roi.’ In the subsequent year, the scene not being in the king's room, the same writer describes ‘M. le duc d'Orléans assis dans un fauteuil.’ Ibid. vol. iii. p. 95. Compare Le Vassor, Hist. de Louis XIII, vol. viii. p. 310. Voltaire (Dict. Philos. art. Cérémonies) says: ‘Le fauteuil à bras, la chaise à dos, le tabouret, la main droite et la main gauche, ont été pendant plusieurs siècles d'importants objets de politique, et d'illustres sujets de querelles.’ Œuvres de Voltaire, vol. xxxvii. p. 486. The etiquette of the ‘fauteuil’ and ‘chaise’ is explained in Mém. de Genlis, vol. x. p. 287.

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See Mém. de Motteville, vol. iii. pp. 309, 310.

421

See a list of those it was proper for the queen to kiss, in Mém. de Motteville, vol. iii. p. 318.

422

Mém. de Omer Talon, vol. i. pp. 217–219. The Prince de Condé hotly asserted, that at a Te Deum ‘il ne pouvait être assis en autre place que dans la première chaire.’ This was in 1642.

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For a quarrel respecting the ‘drap de pied,’ see Mém. de Motteville, vol. ii. p. 249.

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A very serious dispute was caused by the claim of the Prince de Marsillac, for ‘permission d'entrer dans le Louvre en carrosse.’ Mém. de Motteville, vol. iii. pp. 367–389.

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Mém. de Pontchartrain, vol. i. pp. 422, 423, at the coronation of Louis XIII. Other instances of difficulties caused by questions of precedence, will be found in Mém. d'Omer Talon, vol. iii. pp. 23, 24, 437; and even in the grave work of Sully, Œconomies Royales, vol. vii. p. 126, vol. viii. p. 395; which should be compared with De Thou, Hist. Univ. vol. ix. pp. 86, 87.

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Mém. de Lenet, vol. i. pp. 378, 379. Lenet, who was a great admirer of the nobles, relates all this without the faintest perception of its absurdity. I ought not to omit a terrible dispute, in 1652, respecting the recognition of the claims of the Duke de Rohan (Mém. de Conrart, pp. 151, 152); nor another dispute, in the reign of Henry IV., as to whether a duke ought to sign his name before a marshal, or whether a marshal should sign first. De Thou, Hist. Univ. vol. xi. p. 11.

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This difficulty, in 1652, caused a violent quarrel between the two dukes, and ended in a duel in which the Duke de Nemours was killed, as is mentioned by most of the contemporary writers. See Mém. de Montglat, vol. ii. p. 357; Mém. de la Rochefoucauld, vol. ii. p. 172; Mém. de Conrart, pp. 172–175; Mém. de Retz, vol. ii. p. 203; Mém. d'Omer Talon, vol. iii. p. 437.

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Pontchartrain, one of the ministers of state, writes, under the year 1620: ‘En ce même temps s'étoit mû un très-grand différend entre M. le prince de Condé et M. le comte de Soissons, sur le sujet de la serviette que chacun d'eux prétendoit devoir présenter au roi quand ils se rencontreroient tous deux près sa majesté.’ Mém. de Pontchartrain, vol. ii. p. 295. Le Vassor, who gives a fuller account (Règne de Louis XIII, vol. iii. pp. 536, 537), says, ‘Chacun des deux princes du sang, fort échauffez à qui feroit une fonction de maître d'hôtel, tiroit la serviette de son côté, et la contestation augmentoit d'une manière dont les suites pouvoient devenir fâcheuses.’ But the king interposing, ‘ils furent donc obligez de céder: mais ce ne fut pas sans se dire l'un à l'autre des paroles hautes et menaçantes.’

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According to some authorities, a man ought to be a duke before his wife could СКАЧАТЬ