History of Civilization in England, Vol. 2 of 3. Henry Buckley
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Название: History of Civilization in England, Vol. 2 of 3

Автор: Henry Buckley

Издательство: Public Domain

Жанр: Зарубежная классика

Серия:

isbn: http://www.gutenberg.org/ebooks/44494

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СКАЧАТЬ anatomy by dissection. Compare p. 174, and vol. i. pp. 175–184.

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Dr. Whewell (Hist. of the Inductive Sciences, vol. iii. p. 440) says: ‘It was for the most part readily accepted by his countrymen; but that abroad it had to encounter considerable opposition.’ For this no authority is quoted; and yet one would be glad to know who told Dr. Whewell that the discovery was readily accepted. So far from meeting in England with ready acceptance, it was during many years most universally denied. Aubrey was assured by Harvey that, in consequence of his book on the Circulation of the Blood, he lost much of his practice, was believed to be crackbrained, and was opposed by ‘all the physicians.’ Aubrey's Letters and Lives, vol. ii. p. 383. Dr. Willis (Life of Harvey, p. xli., in Harvey's Works, edit. Sydenham Society, 1847) says ‘Harvey's views were at first rejected almost universally.’ Dr. Elliotson (Human Physiology, p. 194) says, ‘His immediate reward was general ridicule and abuse, and a great diminution of his practice.’ Broussais (Examen des Doctrines Médicales, vol. i. p. vii.) says, ‘Harvey passa pour fou quand il annonça la découverte de la circulation.’ Finally, Sir William Temple, who belongs to the generation subsequent to Harvey, and who, indeed, was not born until some years after the discovery was made, mentions it in his works in such a manner as to show that even then it was not universally received by educated men. See two curious passages, which have escaped the notice of the historians of physiology, in Works of Sir W. Temple, vol. iii. pp. 293, 469, 8vo., 1814.

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‘Taken by Descartes as the basis of his physiology, in his work on Man.’ Whewell's Hist. of the Induc. Sciences, vol. iii. p. 441. ‘Réné Descartes se déclara un des premiers en faveur de la doctrine de la circulation.’ Renourd, Hist. de la Médecine, vol. ii. p. 163. See also Bordas Demoulin, le Cartésianisme, vol. ii. p. 324; and Œuvres de Descartes, vol. i. pp. 68, 179, vol. iv. pp. 42, 449, vol. ix. pp. 159, 332. Compare Willis's Life of Harvey, p. xlv., in Harvey's Works.

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‘Les veines blanches, dites lactées, qu'Asellius a découvertes depuis peu dans le mésentère.’ De la Formation du Fœtus, sec. 49, in Œuvres de Descartes, vol. iv. p. 483.

213

Even Harvey denied it to the last. Sprengel, Hist. de la Méd. vol. iv. pp. 203, 204. Compare Harvey's Works, edit. Sydenham Soc. pp. 605, 614.

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M. Cousin (Hist. de la Philos. II. série, vol. i. p. 39) says of Descartes, ‘Son premier ouvrage écrit en français est de 1637. C'est donc de 1637 que date la philosophie moderne.’ See the same work, I. série, vol. iii. p. 77; and compare Stewart's Philos. of the Mind, vol. i. pp. 14, 529, with Eloge de Parent, in Œuvres de Fontenelle, Paris, 1766, vol. v. p. 444, and vol. vi. p. 318: ‘Cartésien, ou, si l'on veut, philosophe moderne.’

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‘Descartes avait établi dans le domaine de la pensée l'indépendance absolue de la raison; il avait déclaré à la scholastique et à la théologie que l'esprit de l'homme ne pouvait plus relever que de l'évidence qu'il aurait obtenue par lui-même. Ce que Luther avait commencé dans la religion, le génie français si actif et si prompt l'importait dans la philosophie, et l'on peut dire à la double gloire de l'Allemagne et de la France que Descartes est le fils aîné de Luther.’ Lerminier, Philos. du Droit, vol. ii. p. 141. See also, on the philosophy of Descartes as a product of the Reformation. Ward's Ideal of a Christian Church, p. 498.

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For, as Turgot finely says, ‘ce n'est pas l'erreur qui s'oppose aux progrès de la vérité. Ce sont la mollesse, l'entêtement, l'esprit de routine, tout ce qui porte à l'inaction,’ Pensées in Œuvres de Turgot, vol. ii. p. 343.

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‘Et si j'écris en français, qui est la langue de mon pays, plutôt qu'en latin, qui est celle de mes précepteurs, c'est à cause que j'espère que ceux qui ne se servent que de leur raison naturelle toute pure, jugeront mieux de mes opinions que ceux qui ne croient qu'aux livres anciens.’ Discours de la Méthode, in Œuvres de Descartes, vol. i. pp. 210, 211.

218

Ibid. vol. i. p. 127.

219

‘Er fing also vom Zweifel an, und ging durch denselben zur Gewissheit über.’ Tennemann, Gesch. der Philos. vol. x. p. 218. Compare Second Discours en Sorbonne, in Œuvres de Turgot, vol. ii. p. 89.

220

Disc. de la Méthode, in Œuvres de Descartes, vol. i. p. 136.

221

‘Je m'appliquerai sérieusement et avec liberté à détruire généralement toutes mes anciennes opinions.’ Méditations in Œuvres de Descartes, vol. i. p. 236.

222

Principes de la Philosophie, part i. sec. 75, in Œuvres de Descartes, vol. iii. pp. 117, 118; and compare vol. ii. p. 417, where he gives a striking illustration of this view.

223

Méditations, in Œuvres de Descartes, vol. i. pp. 303, 304.

224

‘Nous avons rempli notre mémoire de beaucoup de préjugés.’ Principes de la Philos. part i. sec. 47, in Œuvres, vol. iii. p. 91.

225

Œuvres, vol. iii. p. 117.

226

‘Ce qu'on peut particulièrement remarquer en ceux qui, croyant être dévots, sont seulement bigots et superstitieux, c'est à dire qui, sous ombre qu'ils vont souvent à l'église, qu'ils récitent force prières, qu'ils portent les cheveux courts, qu'ils jeûnent, qu'ils donnent l'aumône, pensent être entièrement parfaits, et s'imaginent qu'ils sont si grands amis de Dieu, qu'ils ne sauroient rien faire qui lui déplaise, et que tout ce que leur dicte leur passion est un bon zèle, bien qu'elle leur dicte quelquefois les plus grands crimes qui puissent être commis par des hommes, comme de trahir des villes, de tuer des princes, d'exterminer des peuples entiers, pour cela seul qu'ils ne suivent pas leurs opinions.’ Les Passions de l'Ame, in Œuvres de Descartes, vol. iv. pp. 194, 195.

227

As is particularly evident in his long chapter, headed ‘Apologie de Raimond Sebond.’ Essais de Montaigne, livre ii. chap. xii. Paris, 1843, pp. 270–382, and see Tennemann, Gesch. der Philos. vol. ix. p. 455.

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He very clearly separates himself from men like Montaigne: ‘Non que j'imitasse pour cela les sceptiques, qui ne doutent que pour douter, et affectent d'être toujours irrésolus; car, au contraire, tout mon dessein ne tendoit qu'à m'assurer, et à rejeter la terre mouvante et le sable pour trouver le roc ou l'argile.’ Discours de la Méthode, in Œuvres de Descartes, vol. i. pp. 153, 154.

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According to the view of Descartes, it was to be ignored, not denied. There is no instance to be found in his works of a denial of the existence of the external world; nor does the passage quoted from him by Mr. Jobert (New System of Philos. vol. ii. pp. 161, 162, Lond. 1849) at all justify the interpretation of that ingenious writer, who confuses certainty in the ordinary sense of the word with certainty in the Cartesian sense. A similar error is made by those who suppose that his ‘Je pense, donc je suis,’ is an enthymeme; and having taken this for granted, they turn on the great philosopher, and accuse him of begging the question! Such critics overlook the difference between a logical process and a psychological one; and therefore they do not see that this famous sentence was the description of a mental fact, and not the statement СКАЧАТЬ