Название: Vie de Benjamin Franklin, écrite par lui-même – Tome II
Автор: Бенджамин Франклин
Издательство: Public Domain
Жанр: Зарубежная классика
isbn:
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Au lieu de
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De pareilles innovations se sont quelquefois introduites dans l'assemblée nationale de France; et s'il y en a eu d'heureuses, il y en a eu aussi de très-ridicules. Cet abus menaçoit même de corrompre la pureté de notre langue: mais le bon goût en a fait justice. (
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Il y a dans l'original
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Quand Franklin écrivoit ceci, les Français n'avoient pas encore l'inappréciable avantage de la liberté de la presse. (
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The Gentleman's Magazine.
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Ceci a été écrit pour répondre à quelques questions de M. Dubourg.
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On trouve chez le citoyen
Il reste très-peu d'exemplaires de ces Mémoires de l'Académie royale de Londres. Cet Ouvrage est complet: il comprend neuf divisions; savoir:
L'Histoire naturelle, Tremblemens de terre, Volcans, Curiosités naturelles, Fossiles, Pétrifications, Zoologie, Quadrupèdes, Poissons, Insectes, etc. 2 vol. Botanique, Agriculture, Économie rurale, 2 vol. Physique expérimentale, 2 vol. Chimie, 1 vol. Anatomie et Physique animale, 1 vol. Médecine et Chirurgie, 1 vol. Matière médicale et Pharmacie, 2 vol. Mélanges, Observations, Voyages, 1 vol. Antiquités, Beaux-Arts, Inventions et Machines, 2 vol.
En tout 14 vol. On ne les sépare point.
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Tome 50, page 30.
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Ceci est extrait de quelques lettres adressées à M. Dubourg.
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Ceci est aussi tiré des lettres à M. Dubourg.
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Franklin n'a sans doute voulu parler que des navires marchands en général; car dans les vaisseaux de guerre français et anglais, on fait souvent très-bonne chère. (
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Membre du parlement d'Angleterre, pour le bourg de Calne, en Wiltshire. Il étoit lié d'une intime amitié avec Franklin.
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L'un des représentans de la Georgie.
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Ce morceau est composé de diverses notes, que Franklin avoit écrites avec un crayon, sur les marges d'un exemplaire de la fameuse
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Alieni appetens.
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Prison de Londres.
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Nouvel exemple digne du quaker Denham, dont il est parlé dans le premier volume. (
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Cette offre ayant été acceptée par le roi de Prusse, Frédéric II, il fut conclu entre ce monarque et les États-Unis, un traité d'amitié et de commerce, contenant un article dicté par l'humanité et la philantropie. Franklin, qui étoit l'un des plénipotentiaires américains, le rédigea de la manière suivante:
«Si la guerre a lieu entre les deux nation contractantes, les marchands de l'une qui résideront dans les états de l'autre, pourront y demeurer neuf mois pour se faire payer de leurs créances et régler leurs affaires, et partiront ensuite librement, emportant tous leurs effets sans aucun empêchement ou molestation quelconque. Toutes les femmes, les enfans, les gens de lettres de toutes les facultés, les agriculteurs, les artisans, les manufacturiers, les pêcheurs, et les habitans non armés des villes, des villages et autres places sans fortifications, et en général tous ceux qui travaillent pour la subsistance et le bien de l'humanité, pourront continuer à se livrer à leurs occupations, sans être molestés dans leur personne, sans qu'on brûle leurs maisons et leurs marchandises, ou qu'on les détruise en aucune manière, et sans que la force armée de l'ennemi ravage leurs champs, en aucun des lieux où elle pénétrera: mais si elle a besoin de prendre quelque chose pour son usage, elle le paiera à un prix raisonnable. Tous les vaisseaux marchands, employés à l'échange des productions des différens pays, et à rendre les objets de première nécessité et les commodités de la vie plus faciles à obtenir et plus communs, pourront passer librement et sans molestation; et ni l'une ni l'autre des puissances contractantes, ne délivrera des lettres de marque à aucun particulier, pour lui donner le pouvoir de prendre ou de détruire les vaisseaux marchands, ou interrompre leur commerce».